Un bon fils (1)
Datte: 29/08/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Jane Does, Source: Xstory
... long de ses jambes le tissu qui sans doute le dérangeait. Quand il parvint à se libérer de son slip, il revint prendre la position avec une légère variante. Son corps entièrement nu, il s’allongeait de manière à être à cheval sur moi. Et ses cuisses se plaçaient de par et d’autre de ma tête. Si je n’avais pas compris le message, sa queue tendue se chargeait de me le rappeler.
Elle se frottait à mon visage, dure et chaude à la fois. Complètement ivre d’un plaisir espéré, la chose raide se trouvait d’un coup si proche de mon nez et de ma bouche que j’en étais grisée par l’odeur de sexe et que pour une raison qui m’échappait, je la prenais entre mes lèvres. J’avais si souvent pratiqué cette caresse avec François... qu’il me paraissait normal que son fils héritât de celle-ci. Et la fellation qui s’imposait n’était ni forcée ni refusée. Je suçais mon fils avec en plus cette incroyable sensation que cet interdit rendait meilleure la pipe.
Du coup lui aussi haletait et je sentais sa bite si vivante qui vibrait entre mes mâchoires. Je lui astiquais le manche sans autre perception que celle d’un vrai bonheur. Mais il sut se trémousser suffisamment, et surtout se reculer d’un coup pour échapper à une éjaculation qui devait être toute proche. Une petite goutte de liquide séminal avait déjà fait son apparition sur la jeune pousse que je léchais avec plaisir.
Il en voulait plus, en fait, il voulait tout. Je n’avais plus la prétention de refuser quoi que ce soit. Alors il ...
... vint sur moi, et la pénétration se fit à la missionnaire. La première fois que Rémy s’enfonça en moi avait quelque chose de « déjà vu ». Un remake de ce que son père et moi avions connu bien des années plus tôt. Je jouissais depuis quelques minutes déjà et lui se retenait toujours. Il sortit son sexe de ma chatte pour se mettre à genoux à côté de moi. Cette fois encore, il attendait une pipe que je lui fis sans rechigner.
Toute honte bue, il était de toute façon trop tard pour avoir des remords ou des regrets. Et lorsque d’une main, il me guida pour me mettre moi aussi à genoux, je compris ce qu’il voulait ; que c’était en levrette que je serais saillie ! Celle-ci dura longtemps, sa trique me fouillant lentement, puis revenait plus violemment. Il maniait sa queue comme un virtuose du sexe, et je hurlais de plaisir, ne pouvant absolument pas retenir mes cris. Je ne sentis pas du tout lorsqu’il m’inonda les fesses de ses rasades de semence.
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Après cette nuit-là, nous avons refait l’amour presque chaque fin de semaine. Du vendredi soir au lundi matin, jour où il repartait pour son bahut, nous continuions à nous occuper des soins de son père. Puis la nuit venue, voire chaque moment de libre, nous les passions à jouer les amoureux. François ne réagissait de toute manière aucunement, toujours perdu dans un monde auquel nous n’avions plus accès. J’attendais les week-ends comme auparavant j’espérais le retour de mon mari. Le nouveau François avait simplement ...