1. Un bon fils (1)


    Datte: 29/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Jane Does, Source: Xstory

    Quand a commencé ce que je vais vous relater ? C’est assez confus, c’est sûrement malsain également. Mais c’est arrivé et je dois faire avec. Ça me réveille la nuit, je suis en sueur et pourtant, je dois avouer que dès que j’en ai ou aurais l’occasion, j’ai fait, je fais et referai sans doute toujours avec un égal plaisir cette... faute charnelle, cette effrayante monstruosité.
    
    Comment trouver les bons mots ? Ceux juste pour expliquer l’inexplicable ? En existe-t-il seulement des mots qui excuseraient ne serait-ce qu’un peu, la vilénie dont je suis l’auteure ? Je n’en sais rien ! Le mieux serait peut-être de le faire le plus simplement du monde. Mais je ne veux pas banaliser, pas donner le sentiment que je m’absous seule de ce qui s’est tramé.
    
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    Je suis une femme de quarante-cinq ans, mariée depuis ma dix-neuvième année avec un homme que j’ai connu sur les bancs de l’école. Pas la maternelle, mais bien la primaire, celle d’un village de province pareil à tant d’autres. Toujours est-il que, appelons-le François pour la commodité de mon récit, François, disais-je donc, avait lui aussi quarante-cinq ans. Un tout petit mois nous séparait et j’étais donc son ainée de trente jours exactement.
    
    Notre amour était né sans que nous y prenions garde, sans vraie raison non plus, juste tout bêtement parce que ça devait sans doute arriver. Il était et a toujours été le seul homme de ma vie (là je me mens à moi-même), l’épaule sur laquelle je m’étais si souvent ...
    ... reposée. « À chaque problème, une solution » restait sa devise pour avancer dans la vie. Mais revenons à notre affaire ! L’école, la petite quoi, nous avait vu quitter notre belle montagne pour la grande ville. Tout un changement pour des gosses qui n’avaient connu que la liberté des prés à vaches et les grands espaces où le soleil et l’air n’étaient pas encore mauvais.
    
    Nos études nous avaient conduits dans la même sphère étudiante, ce qui avait sans doute précipité un rapprochement entre nous deux, paumés de villageois perdus dans un monde inconnu. Nous avions d’abord partagé nos soirées, puis nous avions échangé quelques bécots bien chastes, si j’en juge par la jeunesse d’aujourd’hui. Les années ont bien entendu passé et ensemble nous avions obtenu chacun de notre côté, le diplôme que nous convoitions. François rayonnait d’une joie de vivre très communicative.
    
    Le soir des résultats de ces sésames pour une vie meilleure, ma petite chambre au CROUS régional voyait un jeune homme et une jeune fille, entrer dans la vie adulte. Celle-ci débutait par une position pas très catholique, que beaucoup diraient... allongée. Je vous fais grâce de nos maladresses d’adolescents en quête d’un plaisir nouveau. S’il est vrai qu’avec le temps le vin se bonifie, pour François et moi, les amours aussi s’étaient embellies au fil des répétitions de plus en plus nombreuses.
    
    De retour dans notre morceau de France idyllique, après un temps de réflexion assez long pour paraitre raisonnable, nous ...
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