1. Un bon fils (1)


    Datte: 29/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Jane Does, Source: Xstory

    ... avions consolidé notre aventure par une union qui aurait pu durer encore aujourd’hui. La vie est parfois assez spéciale, la nôtre, j’en rends grâce à Dieu s’est déroulée presque comme un livre ouvert. Un bel avenir tout tracé en quelque sorte. Tout d’abord une chaumière pour y loger nos petites joutes amoureuses, puis avec le temps un peu d’argent gagné à la sueur de nos fronts, à force de travail.
    
    La voiture aussi, objet moderne que chaque personne rêve de posséder était venue marquer notre quotidien. Puis de plus grandes, avec toujours aussi d’excellentes raisons pour qu’elles se trouvent changées fréquemment. Cerise sur le gâteau, mon mari et moi avions eu la joie de concevoir ce qui pour moi reste encore à cet instant où je retrace les évènements de notre existence, la plus merveilleuse des arrivées. La naissance d’un enfant, et fierté suprême pour mon François, un garçon. Une consécration en somme qui nous tombait du ciel lors de notre vingt sixième années.
    
    C’est en mars, pour le printemps comme chez les oiseaux que notre petit Rémy était né. Rose et joufflu, bien en forme, un beau bébé bien braillard, de quoi enchanter nos nuits comme nos jours pour toute une destinée. Tout, de ce qui faisait de notre couple un bloc bien solide, oui, tout allait pour le mieux. Et nous aurions pu couler des lustres heureux, remplis de bonheur. Seulement... seulement, il y a toujours un grain de sable pour venir enrayer les plus belles mécaniques.
    
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    La vie est une ...
    ... vraie salope souvent. Elle sait très bien vous arracher ce qu’elle donne si généreusement longtemps. Et pour nous, elle n’a pas manqué à cette règle immuable : Jamais rien n’est acquis, ne jamais se reposer sur ses lauriers ! Rémy est devenu un beau jeune homme. Il a désormais vingt ans et de l’avis de tous, c’est le portrait craché de son père. Même morphologie, même corpulence, et c’est jusque dans les gestes d’un quotidien banal que tous lisent encore aujourd’hui, d’identiques mimiques à celle de ce papa qu’il chérissait.
    
    Des études studieuses, trop parfois et une vie bien rangée, un fils comme beaucoup en aimeraient en somme. Et c’est ainsi que les jours heureux donnaient au couple que nous formions François et moi, un sentiment d’intouchabilité, de solidité inébranlable. Ce en quoi je me trompais et même bougrement, je dois l’avouer aujourd’hui. Et ce qui va suivre devrait le démontrer. Non seulement personne n’est à l’abri de rien, mais pire encore, les gens trop bien dans une existence trop parfaite ne sont pas armés pour affronter les coups durs.
    
    Pour notre couple tout est arrivé un samedi matin. C’est ce jour-là que nous faisions régulièrement les courses pour la semaine suivante. Le marché pour les produits frais, le super marché pour les gros volumes ou les choses plus lourdes, eaux minérales, enfin tout ce qui pouvait représenter un quelconque intérêt pour des personnes normales. Ce matin-là donc, un petit air d’été planait sur les étals de nos commerçants ...
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