Un bon fils (1)
Datte: 29/08/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Jane Does, Source: Xstory
... bien ce que nous fais... ons !
Mais ses mains n’arrêtaient pas leur périple de plus en plus osé. De mes oreilles à mon cou, il n’y avait guère de chemin, puis de là, partir à l’aventure devenait presque un passage obligé. Et folle que j’étais, je ne faisais rien, mais alors vraiment rien, pour le faire stopper ces caresses immorales. Pire encore, je crois bien que mon corps tout entier se tendait vers celles-ci qu’il appelait de toutes mes forces. Mais à aucun moment, je n’avais cherché de mon côté à toucher ce qui me faisait pourtant terriblement envie.
Complètement excitée par cette promiscuité et par la tournure prise par les évènements, je me sentais fondre littéralement dans les bras de ce gaillard qui avait tout de son père. Et lorsque sa bouche chercha mes seins, je ne contrôlais vraiment plus du tout la situation. Mon esprit criait un non totalement ignoré par tous les pores de ma peau. Lesquels non contents de me transmettre des sensations de plus en plus affirmées, les transformaient en une gigantesque chair de poule. Des frissons dont mon Rémy ne pouvait pas ne pas comprendre la signification.
Quand ses pattes trop douces s’étaient approchées de cette plage allant de mon nombril à mon entrejambe, il aurait sans doute encore été temps de repousser leurs avances. Mais je n’étais plus dans un état normal. Trop de privations, trop de tensions et cette envie qui envahissait tout, qui déferlait en moi, je ne la maîtrisais plus. Je me sentais perdue dans ce qui ...
... allait faire de moi, un paria, une salope à coup sûr. Mais les lèvres trop douces avaient aussi suivi le chemin des phalanges, les remplaçant dans une course où je perdais pied.
Et j’avoue avec honte que c’était même toute seule que j’avais écarté les cuisses, livrant ainsi le passage à cette caboche qui sortait de cet endroit où elle n’aurait plus jamais dû revenir. La langue m’avait fait frémir sans que je puisse retenir un premier soupir... d’aise. Je savais déjà que je ne résisterais plus à ce besoin d’être baisée. Il était là, cet homme au bon moment. Qu’il soit la chair de ma chair ne pouvait plus rien changer. Mon ventre pleurait une trop longue absence. Je me rendais compte également que mon gamin n’était pas aussi novice que je l’aurais cru.
Il avait réussi en quelques secondes à décapuchonner mon clitoris et tétait lentement ce clou avec maestria. Et sa langue qui tournait sur cette excroissance délicate entrecoupait les succions de ses lèvres, achevant ainsi de me rendre folle. Je ne m’étais pas tout de suite aperçue que dans les soubresauts qui faisaient se cabrer tout mon être, j’avais pressé son jonc, toujours enfermé dans son caleçon. Après avoir rué durant un long moment, sous les câlins terriblement ciblés de ce jeune homme fougueux, je mouillais sans cesse.
Bizarrement l’idée que ce soit Rémy qui officiât à cet endroit, loin d’apaiser mes envies avait tendance à les multiplier. Et il gesticulait beaucoup aussi, se déhanchant pour faire glisser le ...