1. Un bon fils (1)


    Datte: 29/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Jane Does, Source: Xstory

    ... rajeuni.
    
    Rémy lui ne se comportait pas en mari, mais vraiment en amant averti et attentionné et il me demandait toujours avant d’entrer dans mon lit la permission. Ses mains avaient la douceur de celles qui ne pouvaient plus me caresser. Un transfert qui arrangeait tout le monde. Enfin... dans un univers qui se limitait à nous deux. Nos amis, nos voisins, dans notre entourage proche personne ne savait et ne devrait jamais connaître notre secret. Rémy et moi avions de longues discussions et il m’assurait que ce que nous faisions n’avait rien de dégoutant. C’était aussi pour me rassurer et prêcher pour sa patrie, un peu quand même !
    
    C’est une nuit d’hiver que mon mari nous a quittés ! Une nuit de décembre, avec de la neige qui recouvrait tout. Hospitalisé la veille, c’est avec le cœur serré que j’ai appris la nouvelle à huit heures du matin. Rémy et moi avons assumé ce départ avec une sorte de fatalité avérée. Impossible de lutter de toute façon contre cette suite logique aux évènements qui libérait mon malheureux François. Durant toute la durée des obsèques, nous n’avions pas réitéré ces gestes d’affections entre nous.
    
    Ensuite, Rémy était reparti pour ses études, et pour moi, une solitude sans borne devait s’en suivre. Nous sommes restés quelques semaines, éloignés l’un de l’autre. Mon garçon préparait ses examens à des kilomètres de la maison, dans sa chambre du CROUS. Pourtant le retour suivant de mon fils dans ce cocon familial dans lequel désormais je me trouvais ...
    ... esseulée, mon cœur bondissait de joie. Les gestes du quotidien n’avaient plus la même saveur sans son père ou lui. Un seul être vous manque... vous connaissez la chanson ! Alors pourquoi lors de ce fameux week-end au bercail aurais-je refusé les avances de celui qui était devenu le seul homme de la maison ?
    
    C’était au salon que j’avais replongé dans les délices du sexe au goût d’interdit. Il s’était approché de moi, m’avait embrassé sur la joue et c’était moi qui avais fait à nouveau le premier pas. À peine dix minutes après son arrivée, pas même le temps de se dévêtir totalement, je l’avais littéralement poussé sur le canapé. Il faut reconnaitre aussi qu’il n’avait guère résisté. Le feu qui me consumait n’avait rien à voir avec un amour filial, je l’avoue. Telle une véritable salope, je m’étais précipitée sur son sexe, gourmande de trop d’attente.
    
    Tout le samedi et le dimanche nous nous étions comportés comme deux amants et non pas comme une mère et son fils. Je n’arrivais plus à faire la part des choses. Mais le dimanche soir, Rémy m’annonçait que durant les quelques semaines où il n’était pas rentré, il avait rencontré une jeune fille. Il avait des vues sur celle-ci et apparemment elle lui rendait volontiers ses attentions. Une sorte de pointe de jalousie dans ma voix avait sans doute percé alors que je l’encourageais à sortir avec elle.
    
    — Tu as raison Rémy ! Le monde ne doit pas s’arrêter de tourner parce que ton père nous a quittés.
    
    — C’est surtout pour toi ...
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