1. Un bon fils (1)


    Datte: 29/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Jane Does, Source: Xstory

    ... j’occupais depuis... le retour de François à notre domicile.
    
    — xxxXXxxx —
    
    C’est ainsi que je crois que... tout est arrivé, à cause de mes pleurs. Il y avait quelques mois, je ne me souviens plus très bien combien, pas plus de vingt à mon avis, Rémy de sa chambre, juste à côté de celle où je dormais, était entré dans la mienne. Sans doute réveillé au beau milieu de la nuit par quelques sanglots que je n’avais pu retenir. Il était venu simplement s’asseoir sur le bord de ma couche et d’une main tendre, m’avait caressé le visage. Seule la lampe de chevet restée allumée distribuait une faible lueur qui dansait dans mon espace de nuit. À demi endormie je ne m’étais pas de suite rendue compte que c’était mon fils qui était là.
    
    Puis cette petite main qui me chauffait le visage était si réconfortante. Alors lorsqu’une bouche s’était approchée de la mienne dans l’intention de me faire un bisou, allez savoir pourquoi, j’avais tourné la tête. Pas vraiment pour échapper à ces lèvres qui m’apportaient juste un peu de réconfort, non ! Mon visage s’était placé involontairement dans une ligne qui avait fait que nos lippes venaient de se rencontrer. Et aussi bizarre que cela puisse paraitre, l’impression que c’était François qui m’embrassait m’était apparue, comme un signe du destin.
    
    J’avais alors entrouvert cette bouche et sans me rendre compte de ce que je faisais, ma langue était arrivée, comme ça, sans méchanceté dans celle de Rémy. Surpris dans un premier temps par la ...
    ... tournure prise par les évènements, il avait entrebâillé ses lèvres et c’était avec une certaine fougue qu’il répondait à ce baiser par vraiment « normal ». Et comme sa caboche était penchée sur moi, dans un élan irrépressible, j’avais simplement maintenu le haut de son corps contre le mien en l’attrapant par les épaules. Un véritable coup de chaleur s’était emparé de mon corps. Quelque chose que je ne pouvais plus contrôler, plus gérer.
    
    Et sans que nous nous en rendions compte, du bord du lit, mon fils venait de passer dans les draps. Il était en caleçon et contre ma cuisse battait une baguette très dure qu’il ne cachait pas vraiment. Nous n’avions pas échangé un seul mot. Par contre je dois reconnaitre que ses mains de ma joue étaient allées vers mes oreilles. C’est chez moi un endroit que son père affectionnait quand... enfin je suppose que vous avez compris, je suis sensible de cet endroit. Puis je dois le dire, en été je me couche absolument nue et ce soir-là ne faisait pas exception.
    
    Il faut dire aussi qu’à la maison, la nudité entre nous trois n’avait jamais été un réel problème. Depuis toujours, nous n’avions aucun complexe de ce côté-là. Par contre je n’avais jamais vu Rémy en érection et le fait qu’il soit allongé contre moi, dans la moiteur du lit, a été sans doute l’élément déclencheur. Mon garçon n’arrêtait plus de me donner de petits bécots, tout en murmurant des mots saccadés.
    
    — Ne pleu... re plus ma... man ! Je suis là.
    
    — On ne devrait pas... ce n’est pas ...
«1...345...9»