1. Le bokor


    Datte: 20/01/2018, Catégories: fh, extracon, Oral pénétratio, Humour sorcelleri, québec, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    ... langue dans le cul, cela la faisait toujours mouiller terriblement.
    
    Au bout d’un moment, j’attaquai sa vulve, mais pas directement, je commençai par l’intérieur des cuisses toujours avec la langue, puis les grandes lèvres déjà ouvertes et gonflées. Je les suçai et les étirai, les mordillai, puis les petites et finalement j’enfonçai trois doigts dans le vagin détrempé le plus loin possible en les agitant. Marie amena une main sur son mont de vénus et se branla tandis que ma langue s’occupait à nouveau de son anus puis je passai de la fente au cul en alternance.
    
    Et soudain elle jouit la face dans l’oreiller, son bassin fut pris de mouvements incontrôlables, il se soulevait et se rabaissait rapidement. Son sexe se remplit de liquide que je laissai s’écouler sur les draps en me mettant à genoux pour l’empoigner par les hanches la forçant à relever plus le cul. Je n’en pouvais plus, j’empoignai ma queue et l’enfonçai en elle doucement jusqu’aux couilles la sentant enlever ses doigts de son pubis. Je me mis à la besogner avec force, dents serrées ressentant un plaisir intense, je la baisais furieusement en pressant son cul.
    
    Je voulus lui prendre les seins, mais elle se laissa encore glisser sur le ventre, je me retrouvai couché sur elle ma bite enfoncée encore plus profondément dans son sexe. J’écartai ses cheveux pour lui mordiller la nuque avant d’empoigner ses poignets pour les emprisonner l’un sur l’autre sur l’oreiller et de la fourrer avec force en serrant les ...
    ... fesses sentant déjà un orgasme puissant monter en moi ce qui me fit accélérer. Le bruit de mon ventre heurtant ses fesses couvrait celui de la pluie qui tambourinait aux fenêtres. Marie lâchait des cris étouffés toujours dans l’oreiller, ce qui m’excitait encore plus.
    
    Mon scrotum se contracta, le sperme grimpa dans mon urètre et gicla avec force dans le vagin et je déchargeai longuement puis mes forces m’abandonnèrent.
    
    Je restai affalé sur elle un moment, essoufflé avec le cœur qui cognait et je lui baisai la joue en disant :
    
    — Désolé, j’avais trop envie, Marie.
    — Hum, hum ! fit-elle simplement dans l’oreiller.
    
    Je la lâchai pour me retirer d’elle et rouler sur le dos en pressant ma queue trop sensible. Je fermai les yeux d’épuisement, l’entendant se lever sans doute pour aller à la salle de bain et je sombrai dans un sommeil sans rêves cette fois.
    
    Au matin je m’éveillai en pleine forme avec l’érection matinale du siècle et le visage qui me piquait à cause de ma maudite barbe.
    
    Le vent faisait toujours craquer le vieux musée et la pluie n’avait pas cessé. Le cadran lumineux indiquait 8 h 34 du matin.
    
    Marie ronflait doucement encore couchée sur le côté la tête sousles couvertes. Je l’enlaçai en chien de fusil, poussant comme cette nuit ma queue entre ses fesses nues, glissant une main sur ses seins par-dessous le t-shirt. Cette fois, elle ne se retourna pas, même si je la savais éveillée. Je les sentis moites, fermes et… tout petits ? Marie n’a pas des seins ...
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