1. Le bokor


    Datte: 20/01/2018, Catégories: fh, extracon, Oral pénétratio, Humour sorcelleri, québec, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    Épisodes précédents : Paul a eu une aventure avec l’une des recherchistes de l’émission « Les Chasseurs d’Entités », une jeune et jolie Haïtienne bien ronde qui portait un étrange collier, un gri-gri pour contrecarrer un mauvais sort que son ex lui avait jeté (plus d’appétit sexuel). Mais pendant leurs ébats sur la table de réunion, l’ex-petit ami débarque, furieux, et jette le même sort au pauvre Paul en plus de lui voler son âme, ce qu’il ne prend pas au sérieux.Une fois à la maison, la belle tante Pierrette surgit, en visite pour quelques jours. Le lendemain, Paul se promet une bonne partie de jambes en l’air avec les deux jolies rousses, mais… le mauvais sort semble fonctionner, Paul n’arrive plus à avoir d’érection. Les deux femmes ont beau se démener pour essayer de l’exciter, cela ne donne rien. Découragé, il doit se résigner à aller voir le docteur vaudou.Il a droit à une cérémonie païenne pour conjurer le mauvais sort. Nu, entouré de jolies Haïtiennes bien rondes, nues également, il doit boire une mixture qui provoque chez lui d’étranges hallucinations et, finalement, une belle érection. Ce qui lui permet de baiser Pierrette devant toutes ces femmes qui chantent en créole et dansent autour d’eux.De retour au musée, Paul se prépare pour une soirée torride avec Pierrette et Marie, mais l’ex de Tahina débarque encore et lui jette un autre sort. Il perd conscience et se réveille dans un tiroir à la morgue, apparemment devenu un zombie. Il réussit à se sortir de là et, ...
    ... habillé en médecin, à sortir de l’hôpital pour revenir chez lui, mais quelqu’un l’attend pour le kidnapper.
    
    Quand je revins à moi j’étais solidement attaché sur une chaise avec de la grosse corde de chanvre. J’avais toujours mes habits de médecin sur le dos et mon étiquette et apparemment je me trouvais dans une vaste pièce plongée dans le noir, éclairée seulement par un luminaire au-dessus de ma tête. Devant moi, sur une table, il y avait un vieux téléviseur à antennes avec un ancien lecteur de cassette intégré. Un petit bout de film y jouait en boucle, mais sans le son ; ma belle Marie tout en pleurs qui parlait à un journaliste devant le musée et soutenue par Pierrette et Marie-France, sa meilleure amie, avec comme sous-titre « La mort étrange de Paul Lemieux ».
    
    — Tremblay, idiot. Paul Tremblay, grommelai-je dents serrées en remuant mes doigts ankylosés et essayant de me défaire des liens en me secouant, mais rien à faire.
    
    De toute façon j’étais si faible que même la solide chaise de bois ne bougeait pas d’un pouce. Au moins, cette fois, je me rappelais mon enlèvement.
    
    Je me calmai, c’était peine perdue.
    
    J’étais exaspéré, épuisé, affamé de nouveau et dégoûté du vaudou pour le restant de mes jours. Mais je me promettais bien de planter une lance dans le cul de l’ex de Tahina.
    
    J’entendis des battements d’ailes, très haut au-dessus de moi. Des pigeons sans doute. Je devais être dans un très grand hangar, car le moindre son se répercutait au loin. Au bout d’un ...
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