Le bokor
Datte: 20/01/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
Oral
pénétratio,
Humour
sorcelleri,
québec,
Auteur: Ingyt, Source: Revebebe
... malheureusement, ma belle Marie la gardait pour elle, car elles baisaient encore ensemble à l’occasion.
Je passai trois longues heures à raconter la même histoire à des policiers en uniforme avec le sourire aux lèvres, car je ne m’étais pas encore changé. Je pus enfin me débarrasser de ces maudits vêtements pour aller me coucher entièrement nu dans notre grand lit, pour sombrer aussitôt dans un autre sommeil profond.
Je dormis pratiquement trois jours d’affilée, vaguement conscient du temps qui s’écoulait passant d’un monde onirique à quelques instants de lucidité. Marie ou Pierrette me réveillait pour me faire prendre mes cachets et me faire manger comme un enfant et je me rendormais aussitôt. J’eus de la fièvre et fis des cauchemars horribles qui me faisaient me réveiller en sueur, le cœur battant à tout rompre.
Puis je crus voir Tahina à mon chevet, ensuite Dorine, puis un docteur et une nuit je m’éveillai en sentant Marie se glisser sous les couvertures dans le noir, son derrière heurtant ma cuisse. Un vent violent secouait le vieux musée qui craquait de partout et une forte pluie crépitait sur les grandes fenêtres.
Je ne savais toujours pas si c’était un rêve ou pas, mais je bandai aussitôt et si durement que mon gland qui frottait sur le drap me fit mal. Personne n’avait pris soin de m’enfiler un pyjama, j’étais encore nu. J’avais l’impression de ne pas avoir baisé depuis des mois, un violent désir me traversa le bas-ventre. Je me tournai vers Marie ...
... couchée sur le côté et l’enlaçai en plaquant ma bite fortement contre son cul et l’y frottant lentement pour bien lui montrer mon désir. Le nez dans ses cheveux soyeux, je posai une main sur sa hanche touchant sa peau nue, si douce et la fis glisser sous le t-shirt qu’elle portait pour dormir au lieu de son pyjama habituel, mais elle me prit la main et la reposa sur sa hanche. Me sentant brimé, j’agrippai sa main et la forçai à prendre ma bite contre ses fesses pour qu’elle me masturbe.
Ses petits doigts l’enserrèrent délicatement et elle le fit doucement, je voulus remettre ma main sous le t-shirt, mais elle roula sur le ventre en repliant un genou sous elle sans lâcher ma bite. Sa main si délicate qui me branlait toujours me rendit presque fou. Je voulus lui enlever son slip, mais je m’aperçus qu’elle ne portait qu’un string, je l’arrachai facilement, pris de folie et je l’entendis gémir contre l’oreiller. Puis je me descendis, bien décidé à lui procurer un peu de plaisir, elle dut lâcher mon pénis, je glissai mon visage contre ses fesses pour les embrasser, les mordiller, les presser, comme un fou. Puis je sortis la langue pour agacer son petit anus salé l’enduisant de salive, la raidis et la poussai à l’intérieur du rectum le plus loin que je pouvais en écartant ses fesses avec mes pouces. J’entendis des gémissements étouffés tandis qu’elle dépliait sa jambe pour bomber le cul en écartant les cuisses. Marie se tortillait de plaisir, elle adorait que je la pénètre avec la ...