Eva me force la main
Datte: 18/08/2020,
Catégories:
caférestau,
jalousie,
cérébral,
Auteur: Gil.06, Source: Revebebe
... maintenant derrière mon dos, je ne suis qu’un pantin dans ses mains. L’ascenseur arrive, elle me pousse contre le fond, sa langue est dans ma bouche, sa main dans mon pantalon. Mes mains ont remonté de ses cuisses à ses fesses, c’est sûr qu’elle porte des bas et, soit elle a un string, soit elle n’a pas de culotte. Je masse ses fesses, elles sont fermes. Son genou appuie sous mes couilles, encore quelques secondes et je vais…
Non ! L’ascenseur s’arrête. En moins d’une seconde, elle s’est retournée et sa jupe a repris sa place, mon sexe, lui, est hors de mon slip et distend mon pantalon. Des personnes attendent l’ascenseur à notre étage, je suis obligé de me coller à elle pour rester discret.
J’ai chaud, j’ai très chaud. J’arrive devant sa porte, sors la carte qu’elle m’a donnée. Alors que je tente d’ouvrir sa porte, sa main me masse les couilles en passant sa main entre mes jambes.
J’ouvre enfin la porte, la tiens pour la laisser passer, elle m’embrasse, son genou m’immobilise de nouveau, mais je résiste. Mon cerveau marche au ralenti, mon cœur est en mode compétition, il faut que je trouve une issue. Je la repousse doucement mais fermement et m’échappe jusqu’à ma chambre que j’ouvre en quelques secondes.
Je me précipite dans la douche, mais ça ne suffit pas, il faut que je me soulage ; en quelques mouvements j’éjacule. Je m’assois au fond de la baignoire. Il faut que je fasse le point mais je suis trop fatigué pour ça.
Le téléphone de la chambre sonne, ça ...
... doit être Carole, sans même me sécher, je cours dans la chambre.
— Allo
— Tu ne vas pas me laisser en plan quand même !
J’entends simultanément Éva dans le téléphone et au travers de la cloison.
— Arrête, supplié-je.
— Viens, prend-moi, montre-moi que tu es un homme, que tu peux assouvir toutes les pensées les plus malsaines qu’une femme peut avoir, je t’offrirai mon cul ; je sais que Carole ne pratique pas ce genre de sport.
— Qu’est-ce que tu en sais ?
— Elle me l’a dit samedi dans la cuisine, elle a essayé mais elle a eu peur. Il faut que tu la forces, mais il faut que tu aies de l’expérience. Si tu veux, je t’attache comme ça tu pourras dire que je t’ai forcé.
Je raccroche furieusement, mais elle continue plus fort au travers de la cloison :
— Laisse-moi t’apprendre à baiser ma meilleure copine, après, jamais plus je ne te toucherai. Allez, réponds-moi.
Puis le téléphone re-sonne.
— Allo
— Aller viens, me dit elle, je serai sage, tendre ; elle n’en saura jamais rien ; on mettra des préservatifs. Allez, tu sais, je suis nue sur le lit, j’ai trois doigts en moi, je n’en peux plus, cette soirée m’a excitée au plus haut point, j’ai envie de jouir.
Je raccroche et laisse le téléphone décroché.
Elle frappe plusieurs coups au mur, que je laisse bien sûr sans réponse.
Ma nuit fut plus qu’agitée. Je transpire, je fantasme, je vois Éva en train de me sucer. Je me vois la prendre par derrière, elle me demande d’y aller plus fort, encore et encore. À ...