L'arrivée à Paris
Datte: 17/08/2020,
Catégories:
ff,
inconnu,
grosseins,
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
massage,
Oral
fdanus,
historique,
historiqu,
Auteur: Ben, Source: Revebebe
... tête. Ce faisant, elle découvre son corps superbe : sa peau un peu sombre semble douce comme du velours, ses longues cuisses sont musclées, sa taille fine, ses épaules larges. Sa toison pubienne est aussi sombre que ses cheveux, ses fesses sont fermes et rondes. Mais ce qui surprend le plus Caroline, c’est la splendeur de ses seins : ils sont d’une taille impressionnante, et d’une fermeté orgueilleuse. Les gros mamelons bruns sont gonflés, et semblent attendre qu’on les suce.
Elodie s’approche ensuite de Caroline, et, sans se laisser contredire, s’empare de sa culotte et l’abaisse jusqu’au sol. Caroline se laisse ôter sa chemise. Les deux jeunes femmes se trouvent nues, la brune et la blonde si différentes et si semblables. Caroline est aussi pâle que Elodie est sombre, elle est plus grande et ses formes sont plus généreuses : sa croupe, quoique ferme, est plus rebondie, ses cuisses plus pleines, ses épaules plus rondes. Ses seins sont, si faire se peut, encore plus gros que ceux de Elodie : ils ont la taille et la forme de gros melons, ronds et lourds. Elle a de petits tétons roses, durs et érigés. La fine toison qui couvre son sexe est toute blonde et si discrète qu’elle ne dissimule rien de sa vulve gonflée.
Les deux femmes s’admirent mutuellement, prenant plaisir à découvrir leurs points communs et leurs différences.
« On ne m’avait pas dit que vous étiez si belle.
— J’ignorais pour ma part qu’on me confierait à une servante si délurée.
— Ce n’est pas être ...
... délurée que de vouloir découvrir les splendeurs du monde.
— Mais je suis sûre que le monde gagnerait à découvrir la splendeur de tes seins. Je n’en ai jamais vu d’aussi beaux.
— En avez-vous donc vu tant, Maîtresse, que vous puissiez juger ? Je peux vous en faire découvrir d’autres, différents, mais pas moins beaux. Les vôtres par exemple, sont superbes dans leur genre.
— C’est aussi ce que disent mes amies, qui en sont bien jalouses.
— Ah donc, vous jouez la pudique avec moi, mais vous comparez vos appâts avec vos amies.
— Qui sait, peut-être pourrons-nous devenir amies…
— En attendant, je suis votre servante. Notez que cela ne m’empêche pas de contempler vos courbes, et de m’en délecter. Mais il vous revient de décider ce que vous voudrez faire de moi.
— Te voilà bien humble brusquement. Tu étais plus dégourdie, à l’instant. M’as-tu demandé si tu pouvais me déshabiller ?
— Maîtresse, mille excuses. Nous sommes à Paris, ce sont là choses qu’on fait sans penser à mal
— Est-ce penser à mal que d’avoir envie de se faire plaisir ? Puisque tu t’en remets à mon autorité, pour te punir de ta témérité, tu vas maintenant t’occuper de moi disons… de manière plus approfondie.
— Plus approfondie, maîtresse ? Je brûle de savoir ce que vous entendez par là.
— Brûle seulement, Elodie, je connais un moyen pour calmer l’incendie
— Rassurez-vous maîtresse, pour l’instant je sens plutôt que c’est une inondation qui menace.
Le petit jeu du chat et de la souris permet aux deux ...