1. L'arrivée à Paris


    Datte: 17/08/2020, Catégories: ff, inconnu, grosseins, soubrette, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, Oral fdanus, historique, historiqu, Auteur: Ben, Source: Revebebe

    Appelée à Paris par sa mère pour être introduite à la Cour du Roi-Soleil, la jeune Caroline découvre un nouvel univers, envahi par la luxure et la débauche. Ses penchants naturels vont y trouver le terreau idéal pour se développer et se raffiner.
    
    Sur ce canevas de départ, cette histoire à épisodes évoluera au gré de mes fantaisies, mais aussi des vôtres. Si vous appréciez ce récit, envoyez-moi vos suggestions. Quelles aventures Caroline va-t-elle connaître ? Quelles personnes va-t-elle rencontrer ? Comment trouvera-t-elle son chemin ? J’essaierai d’intégrer vos suggestions pour faire évoluer l’histoire.
    
    1er épisode : L’arrivée à Paris
    
    Appelée à Paris par sa mère pour être introduite à la Cour du Roi-Soleil, Caroline a dû faire le long voyage seule, par la diligence. Elle est fourbue, éreintée par les cahots de la route. Le voyage depuis Rennes a paru interminable. Il est déjà 20 heures, elle s’est demandé un instant s’ils arriveraient avant la nuit. Mais voilà, c’est fait, la voici à Paris ! Vivement qu’elle arrive à l’hôtel particulier de sa famille, qui est situé de l’autre côté de la ville, pour pouvoir se reposer.
    
    Une déception l’attend à la descente de la diligence. Sa mère, qui devait l’accueillir, a envoyé une servante pour l’attendre : elle a un empêchement de dernière minute, la servante la prendra en charge pour la soirée.
    
    Elle est bien sûr déçue, autant qu’intriguée, par l’absence de sa mère. Mais la jeune servante, Dieu sait si elle le fait de sa ...
    ... propre initiative ou sur ordre de sa mère, réussit à lui faire oublier rapidement sa déception. Comme elle l’apprendra plus tard, Elodie est jeune, 19 ans, deux ans de moins qu’elle seulement. Elle a de longs cheveux noirs tirés en chignon, une peau foncée, un petit nez retroussé, des lèvres pulpeuses, de grands yeux sombres… Elle est superbe, aussi foncée que Caroline est claire. Elle a l’esprit vif et déluré de la capitale. Tout au long du parcours vers l’hôtel, qu’elles effectuent dans la calèche familiale, elle prend plaisir à montrer à Caroline les trésors de la capitale : les monuments, les églises, la Seine…
    
    Caroline est étonnée de sa spontanéité et de sa familiarité. Aucune servante de province n’oserait s’adresser à sa maîtresse sans être interrogée, ni n’oserait s’asseoir si près d’elle. Elodie lui touche la cuisse, et, chaque fois qu’elle lui désigne un bâtiment, elle se penche vers elle, s’appuie sur son bras ou son épaule : Caroline sent sa chaude odeur de brunette, elle devine le poids de sa poitrine contre son épaule, elle frissonne quand elle approche les lèvres de son oreille pour lui dire quelque chose tout bas. Séduite, Caroline se laisse entraîner dans une douce et tendre euphorie, celle qui naît de l’impression de se sentir désirée. Car la jeune servante semble vraiment se comporter comme si elle voulait séduire un amant : tour à tour, elle rit avec grâce, elle chuchote, elle observe sa compagne en silence, elle lui touche le bras. Elle rejette ses ...
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