1. L'arrivée à Paris


    Datte: 17/08/2020, Catégories: ff, inconnu, grosseins, soubrette, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, Oral fdanus, historique, historiqu, Auteur: Ben, Source: Revebebe

    ... sa servante. Arrivée devant sa chambre, Elodie s’excuse :
    
    — J’ai tellement chaud, est-ce que vous permettez que j’aille me changer ? Je vous rejoins de suite dans votre chambre, dans une tenue plus… légère.
    
    L’effrontée ne laisse même pas le temps à Caroline de répondre, et disparaît. Caroline entre dans sa chambre, s’assied sur le lit un instant pour réfléchir, puis ouvre sa malle pour commencer à ranger ses habits dans l’armoire. Elle n’a pas beaucoup de robes, et elles ne sont pas bien élégantes. Elle se dit que sa mère devrait l’habiller de neuf, à la mode de Paris. Elle commence à déballer ses escarpins, lorsqu’on frappe à la porte. Caroline laisse entrer Elodie, et a le souffle coupé. La jeune servante a revêtu un chemisier blanc si échancré qu’il découvre la moitié de ses seins, et coupé dans un tissu si fin qu’on devine l’aréole plus sombre de ses tétons. Ce chemisier s’arrête à mi-cuisses, et Caroline devine qu’elle ne porte rien dessous. Amusée par la réaction de sa maîtresse, Elodie la titille :
    
    — Comme ceci j’ai un peu moins chaud. Vous voyez les jolies choses qu’on porte à Paris ? Comment trouvez-vous cette chemise ? Un peu trop longue peut-être ?
    
    Caroline ne sait que répondre. Vraiment, comment une servante peut-elle se comporter ainsi ? Mais d’un autre côté, quelle liberté, quelle aisance, quel charme elle dégage. Elle ne peut se fâcher sur elle, elle est déjà séduite. Elodie l’a senti. Agit-elle de son propre gré, ou a-t-elle reçu des instructions ...
    ... de quelqu’un, se demande un instant Caroline. Joue-t-elle un rôle, ou est-elle spontanée ? Caroline préfère ne plus se poser la question, tant elle trouve de plaisir à ce jeu de séduction.
    
    — Ma chère maîtresse, est-ce que vous souhaitez aussi vous mettre à l’aise ? Otez donc cette robe, dans laquelle vous avez dû transpirer tout le chemin ! Puis je vous verserai un bon bain pour vous décrasser.
    
    Sans se laisser prier, Caroline ôte sa robe. Après tout, c’est vrai qu’elle a beaucoup transpiré, et qu’un bain lui ferait du bien. Elle se retrouve en chemise et culotte. Ses propres vêtements ne sont pas en drap fin, mais en toile plus grossière. On pourrait se demander, en les voyant toutes les deux, qui est la maîtresse et qui est la servante.
    
    C’est à ce moment qu’Elodie, sentant sa nouvelle maîtresse entrer dans son jeu, ose se montrer plus directe. Elle a senti que, sous ses dehors de jeune fille bien sage, Caroline cache un tempérament bien différent, et qu’elle n’est plus une oie blanche.
    
    « Oh, maîtresse, que ça pue ! Otez donc ces sous-vêtements, qu’on les lave !
    
    — Tourne-toi, pendant que je me change.
    — Mais laissez-moi donc vous aider ! Vous croyez que je n’ai jamais vu un corps de femme nu ?
    — Je te connais à peine, et puis, tu es quand-même ma servante.
    — Allons, faites-moi confiance, je saurai m’occuper de vous, et je vous donnerai les plus grandes satisfactions. »
    
    Et, prenant Caroline de court, elle saisit sa propre chemise, et la passe par-dessus sa ...
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