L'arrivée à Paris
Datte: 17/08/2020,
Catégories:
ff,
inconnu,
grosseins,
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
massage,
Oral
fdanus,
historique,
historiqu,
Auteur: Ben, Source: Revebebe
... femmes de dévoiler élégamment leur désir, en même temps qu’il le fait grandir. Caroline s’approche d’Elodie, la prend dans ses bras, l’enlace. La jeune soubrette, ravie d’arriver si vite à ses fins, tend ses lèvres pulpeuses et ferme à demi ses paupières, attendant le baiser de sa maîtresse. Il est passionné, long et pénétrant. Malgré son jeune âge, Caroline maîtrise tout l’art du baiser. Elle darde sa langue, l’enroule, l’enfonce loin pour s’entortiller autour de celle de sa partenaire, elle lui mordille les lèvres. Elodie en est toute retournée. Décidément, de chasseresse elle devient proie. Elle n’avait pas imaginé que la jeune fille de province, si elle n’est pas au courant des modes de Paris, n’est quand même pas la jeune fille pure et ignorante qu’elle s’attendait à accueillir. Diable, elle tient vraiment de sa mère !
Très excitées et oubliant toute pudeur, les jeunes femmes s’entrelacent plus étroitement, croisent leurs cuisses, ondulent des hanches, pressent leurs poitrines généreuses l’une contre l’autre. Caroline caresse d’une main la nuque de sa partenaire, pendant qu’elle pose son autre main sur son cul. Elodie ne peut résister à la tentation de se saisir du sein gauche de Caroline, d’en soupeser la masse, de le presser doucement. De sa main gauche, elle lui caresse le dos.
Caroline, sans cesser son étreinte, recule vers le lit, entraînant sa servante.
« Mmmh, tu es bonne, lui souffle-t-elle entre deux baisers. T’as un petit cul tout musclé, dis-moi. Tu ...
... aimes cela, n’est-ce pas, qu’on te pétrisse ton petit cul ?
— Oui, maîtresse, cela et tout le reste aussi. Prenez-moi, continuez de m’embrasser, cela m’excite tant. Faites de moi ce que vous voulez, je m’offre à vous.
— Bien sûr que je vais te prendre, petite soubrette effrontée. Mais avant, tu vas me donner du plaisir. Vas-y, continue à me masser les nichons, j’adore ça. Ça m’excite.
— Ils sont tellement gros. Je peux à peine les tenir. Moi aussi cela m’excite de les caresser. Vous sentez comme je mouille ?
— Oui, je sens ta mouille qui dégouline sur ma cuisse, petite vicieuse. Suce-moi le bout des seins ! Oui vas-y, suce plus fort, ça fait du bien.
— Vos tétons sont tout durs maintenant. Regardez comme ils sont excités : ils sont tout gonflés.
— Ça t’excite, de me téter, hein !
— Oui, Maîtresse, ça m’excite. Vous avez de si beaux seins ! J’adore les masser, les presser l’un contre l’autre, les faire rouler comme cela.
— Pince-moi les bouts, maintenant.
— Comme cela ?
— Oui, plus fort, ça me fait mouiller. Tu peux les mordiller aussi, si tu veux. Oui, exactement comme cela. Ahh ! je sens mon plaisir qui monte. Ahh ! Arrête maintenant, sinon je vais jouir.
— Comme vous voulez Maîtresse, je suis à votre disposition.
— Couche-toi, je vais m’occuper des tiens maintenant. J’adore tes gros tétons gonflés.
— Oh Maîtresse, sucez-les moi, vous verrez qu’ils vont devenir encore plus gros.
— Pas possible. Si, regarde celui-là, comme il grossit. Bon dieu, je vais te sucer ...