1. L'arrivée à Paris


    Datte: 17/08/2020, Catégories: ff, inconnu, grosseins, soubrette, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, Oral fdanus, historique, historiqu, Auteur: Ben, Source: Revebebe

    ... cheveux en arrière, passe le bout de sa langue entre ses jolies lèvres, penche gracieusement la tête. Caroline a beau ne pas avoir beaucoup d’expérience avec les femmes, elle n’a aucune peine à discerner les signaux de séduction que lui envoie la jeune femme.
    
    Arrivées à l’hôtel particulier, Elodie donne instruction au laquais de monter les bagages dans la chambre, et entraîne Caroline vers le salon.
    
    C’est la première fois qu’elle pénètre dans cette maison. Elle a vécu jusqu’alors dans leur maison de Rennes, avec son père, sa sœur et leurs domestiques. Depuis plusieurs années, sa mère vit le plus clair de l’année à Paris. Elle rentre à Rennes deux fois par an. Ses parents forment un couple bizarre : son père a plusieurs maîtresses, dont l’une vit d’ailleurs carrément dans la maison de Rennes. Nul doute non plus que sa mère ne reste pas seule quand elle est à Paris. Mais lors de ses retours, ils semblent amoureux comme au premier jour, passant la majeure partie de leur temps dans leur lit.
    
    Dès son adolescence, Caroline avait écouté à travers les portes, épié à travers les volets. Malgré son jeune âge, elle avait vite appris la nature de leurs loisirs. Il faut dire qu’ils ne faisaient rien pour le cacher : il n’était pas rare de les surprendre en train de baiser dans un coin ou l’autre de la maison, et parfois la porte de leur chambre restait grande ouverte sur leurs ébats. Son père semblait avoir des instincts de bouc, sa mère était tellement démonstrative que tous les ...
    ... murs de la maison retentissaient de ses feulements de plaisir.
    
    Lorsqu’ils s’ennuyaient d’eux, ils n’hésitaient pas à associer la maîtresse de son père dans leurs jeux, voire une soubrette ou un valet. Caroline avait ainsi un jour surpris son père en train de chevaucher la jeune Bérangère sous les yeux de sa mère qui, les jambes écartées en face d’eux, se branlait le clitoris avec entrain tout en léchant la moule de la maîtresse de son père.
    
    La jeune Bérangère avait d’ailleurs pris rapidement goût aux choses du sexe. Il faut dire que sous sa tenue de soubrette modèle se cachait un corps fait pour le plaisir, dont Caroline n’avait pas tardé de faire la découverte : elle avait un corps harmonieux, tout en courbes et en souplesse, les jambes longues et musclées, la croupe rebondie, la taille fine, les épaules larges, et des très gros seins orgueilleux, fermes, opulents, couronnés par de petits tétons roses érigés.
    
    Ce jour où Caroline l’avait vue à quatre pattes en train de se faire saillir par son père, les jambes écartées, le dos cambré, le cul en l’air, ses gros seins agités par les coups de boutoir et ses yeux révulsés de plaisir, elle avait découvert la beauté insoupçonnée de son corps et avait pour la première fois éprouvé du désir pour une femme. Elle avait peu de temps après convoqué la soubrette dans sa chambre, lui avait fait comprendre qu’elle était au courant d’une relation avec son maître. La soubrette jura que c’était la première fois, qu’on l’avait forcée, ...
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