Eta gaur ezkontzeko hitza eman du. Et la voilà fiancée. (2) - Histoires de Sexe

Eta gaur ezkontzeko hitza eman du. Et la voilà fiancée. (2)

... surprendre. Mon engagement stoppé net, je ne pus me résigner à repartir bredouille. Je devais alors prendre connaissance de tous les détails possibles. La première chose qui m’avait surprise c’était de ne pas avoir senti de deuxième couture. Il était probable que dans ma fougue j’étais passée sous la couture du short et de son maillot mais je voulais m’en assurer. Mon pouce était resté à l’extérieur et caressait son nombril comme pour le consoler. Une autre tâche lui incombait maintenant. Mon doigt solitaire devait déterminer si ma première impression était la bonne. Arrivé au niveau de la couture, il passa un peu de sa pulpe sous le tissu pour créer un interstice afin de s’y faufiler. Il y arriva malgré la tension et se trouva aussi désemparé que ses quatre camarades. Rien, aucune trace de maillot.

Notre baiser et mon investigation s’arrêtèrent brusquement lorsqu’un sourire carnassier apparut sur son visage. Il apprécia la surprise sur mon visage et m’avoua n’avoir pas eu le temps de se changer au préalable mais qu’il aimait être ainsi de toute manière. Je fus dépourvue de réaction, un peu sonnée. C’est là qu’il en profita pour lancer la contre-offensive. C’était finement joué, digne des plus grands stratèges. Il avait su m’attirer sans que je m’en rende compte là où il le désirait. Le gros de mes forces s’était lancé dans la bataille pour en finir au plus vite mais aussi pour cacher la différence de nos armées. De l’esbroufe en quelque sorte. Il avait profité de ma ...

... charge pour envoyer une escouade infiltrer ma place. La main sur mes côtes n’avait pas bougé au contraire de celle qui avait galamment retenue ma chute lors de notre rapprochement. Je l’avais laissé sur place lorsque j’avais entrepris mon offensive, à l’entrée de ma place forte et sans surveillance. Sa main, libre de toute contrainte, était remontée en toute discrétion à la base de ma chevelure et entourait à présent l’arrière de mon cou. Ma percée était trop avancée, son leurre trop parfait ! C’est au moment où je me rendis compte de la situation de faiblesse dans laquelle je m’étais mise qu’il décida de se montrer plus incisif. Avec force il appuya de sa main sur mes flancs et commença à me faire tourner sur moi-même. L’impulsion était puissante mais sa main jumelle jusqu’alors dissimulée dans l’ombre de mes murailles se raidit pour faciliter la rotation. Ainsi guidée ma révolution s’arrêta net lorsque mon autre flanc arriva au contact de sa puissante paume.

Je me retrouvai en position de faiblesse, une main sur ma croupe gauche me bloquant une éventuelle sortie, l’autre autour de mon cou excluant tout débat. Je pouvais toujours reculer mais c’était peine perdue. Ma brèche n’était déjà plus visible et son armée avait reconstitué ses forces et entreprit de se rapprocher par l’arrière. J’étais prise dans un piège machiavélique sans aucune chance de m’en sortir et il commença à se refermer sur moi. La main postée sur mon côté gauche avait glissé sur mon ventre jusqu’à venir ...