1. Le curé


    Datte: 01/08/2020, Catégories: fh, fhh, extracon, religion, Masturbation Oral pénétratio, Partouze / Groupe Humour cocucont, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... inconnu, que je ne comprenais pas ce qu’elle aimait à se faire ainsi souiller par des inconnus devant son mari cocu. Second mot inapproprié qui a fait réagir monsieur, vexé sans doute que je ne parvienne pas à comprendre ses motivations profondes lorsqu’il se faisait spectateur des exploits de son épouse et de conclure : « Vous comprendriez si vous regardiez vous aussi ; je suis sûr que même un curé banderait en la regardant se faire sauter. »
    
    Je suis resté scotché, pétrifié, avec un sourire de ravi de tout, un sourire de con. J’allais donc me soumettre, si Dieu ne m’en dissuadait pas entre-temps, à l’exposé d’une luxure avilissante. Le risque, évidemment, était que l’état dans lequel ça me mettrait, selon toute vraisemblance, s’avérât impossible à dissimuler : j’irais donc en soutane large, histoire de ne pas trop m’exposer.
    
    Rendez-vous fut pris un jeudi soir, après mes corvées. Je m’étais abstenu ce jour-là de recevoir en confession pour m’éviter que des idées farfelues supplémentaires me soient transmises. Madame m’avait assuré que son amant savait qu’il y aurait des « spectateurs », que je serais dans une espace sombre, et que tout se passerait derrière un miroir sans tain. Le mari cocu serait lui dans la chambre, avec madame et son serviteur d’un soir. Ainsi, mon identité ne serait connue que d’elle et de son mari, l’amant pensant que l’observateur anonyme serait trop timide pour se montrer.
    
    Ce soir-là, je crois que j’ai touché du doigt (c’est une parabole) ce ...
    ... que la luxure peut avoir de pire. Madame a montré à son amant d’un soir à quel point elle aimait la queue, à son mari à quel point il était insuffisant, et à moi le pire de ce que puisse donner à voir une femme de bonne famille.
    
    J’ai imploré mon Dieu et maître de m’aider à garder mon calme devant cette orgie, mais il avait peut-être autre chose à faire. Pour la première fois de ma vie je me suis masturbé, nu, en regardant une femme un peu grasse à genoux sur une couche se faire prendre brutalement par un garçon bien membré, qui visiblement savait se servir de sa virilité. Tout ça avec le mari, nu lui aussi, qui secouait son petit sexe mou, la bouche ouverte, d’un geste frénétique et ridicule. Pour la première fois de ma vie j’ai accueilli ces images salaces avec plaisir, avec autant de plaisir que quand j’ai introduit mon pouce dans mon anus au moment propice.
    
    « Quelle honte, mon Père…me suis-je dit alors que les effluves d’une chatte en chaleur me flattaient les narines,quelle honte de se livrer ainsi sans pudeur à une telle bite roide ! Quelle honte, mon Père, de se servir ainsi d’un cul, fût-il consentant. Quelle honte, mon Père, de hurler de telles insanités ! »
    
    Enfin je savais, je pouvais mettre des images concrètes sur les plaisirs inavouables qu’on m’avait néanmoins avoués, et enfin j’allais être en mesure de prendre sur moi, de parler à nouveau à Dieu, mais cette fois en homme averti.
    
    Je n’avais pas anticipé la suite, terrible, à laquelle j’ai malgré moi ...
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