1. Le curé


    Datte: 01/08/2020, Catégories: fh, fhh, extracon, religion, Masturbation Oral pénétratio, Partouze / Groupe Humour cocucont, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... autorisé son mari à venir regarder de plus près, et qu’en échange il l’avait autorisée à continuer. Monsieur voulait obtenir l’absolution pour des péchés à venir, ceux qu’il commettrait en consentant à l’adultère de son épouse et qui doivent relever du pêcher de luxure, et ceux dont il se rendrait coupable en l’incitant à remettre le couvert, ce qui me semblait relever de la connerie ordinaire.
    
    Et quand il m’a demandé si l’Église autorisait que des couples se confessent de concert devant le même ministre du culte, j’ai répondu de façon ferme que non, il n’en était pas question, que la confession était de l’ordre de l’intime, de l’individuel, que c’était impossible. J’ai ajouté de façon malicieuse qu’en revanche il me serait tout à fait loisible de venir à leur rencontre pour discuter avec eux, mais pas dans un confessionnal. Quand monsieur est parti, j’ai levé les yeux vers le ciel pour implorer le pardon et supplier mon maître de me préserver du pire. J’avais bien conscience que je courais vers une tentation encore plus forte, plus difficile à contenir ; un risque ultime.
    
    C’est madame qui a évoqué la première la suite de ma proposition incongrue. Elle m’a avoué que son mari lui avait parlé, savait que je savais, et souhaitait que je vienne les rencontrer pour parler de tout avec eux, leur donner un éclairage divin pour une problématique purement humaine. « Vous seul pouvez comprendre… » m’a-t-elle lancé. Je me demande encore comment elle a pu dire une telle ...
    ... ânerie.
    
    Il existe aujourd’hui des psychologues pour couples. À l’époque, le prêtre avait cette fonction. Je ne sais pas si les psychologues parviennent à prendre de la distance quand on parle devant eux de relations conjugales, mais moi j’avais du mal. Madame m’exposa par le menu ses goûts en matière de sexe, parlant de rythme, de taille, de langage approprié, de positions préférées, de chaleur, de raideur, de sperme, de fellations, de claques sur les fesses, de bave, et même de sodomie. Monsieur intervint timidement à plusieurs reprises pour dire à chaque fois qu’il ne se sentait pas à la hauteur, qu’il ne pourrait jamais la satisfaire, qu’il était nul. Et je n’étais pas loin de penser qu’il avait raison.
    
    Durant cette entrevue sur le mode confession au grand jour, j’ai été pris trois fois par un besoin de me rendre aux toilettes. Ils ont dû penser que j’avais un problème de prostate. La réalité était plus cruelle : il fallait que je me masturbe pour retrouver un peu de calme, tellement ce que me racontait madame m’excitait.
    
    Au bout d’une heure j’ai mis un terme à l’entretien en leur disant qu’il fallait qu’ils réfléchissent au sens de leur vie, que Dieu les aimait comme ils étaient, et que je ne serais pas d’un grand secours pour améliorer leur sexualité. Je ne sais pas ce qui m’a pris de prononcer ce mot, mais ce fut comme si j’avais remis une pièce dans le juke-box. Madame a repris l’énumération de ses goûts, ce à quoi j’ai dû répondre que pour moi c’était tout à fait ...
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