1. Le curé


    Datte: 01/08/2020, Catégories: fh, fhh, extracon, religion, Masturbation Oral pénétratio, Partouze / Groupe Humour cocucont, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... tout ce qu’il a de plus sordide, et un goût prononcé pour la luxure, ce qui est encore moins catholique. Les détails qu’elle s’est cru en devoir d’exposer devant moi me firent en gros le même effet que l’exposé de la défloration de la jeune « de-de » : je me suis mis à bander, et sous ma soutane j’ai secoué mon sexe jusqu’à m’en mettre partout. Je la voyais bien, la bourgeoise, se cacher dans une grange pour se faire prendre par son amant, hurler de plaisir, repartir le dos griffé et le sexe gluant. Elle était avare de détails mais je me suis surpris à lui poser des questions, à lui demander des précisions, jusqu’à ce que je jouisse. Il faut dire qu’une fois partie, elle avait du mal à retenir les relents de ses émotions illicites.
    
    La confession de son mari, la semaine suivante, a pour le coup pris un tour tout à fait inattendu. Marcel – je tairai son nom par délicatesse – savait qu’il portait des cornes. Son épouse, en revanche, ne savait pas qu’il savait. Il la surveillait de longue date et s’était trouvé des postes d’observation pour pouvoir la regarder quand elle était avec un homme. Ce que j’ai appris – et que madame avait soigneusement évité de me dire – c’est que ça durait depuis fort longtemps et qu’elle avait eu plusieurs amants, parfois en même temps.
    
    C’était la première fois qu’entendre un homme me parler de sa femme me mettait dans un tel état. C’était aussi la première fois que mon sexe raidissait à nouveau alors que je venais à peine de me satisfaire. ...
    ... Ce fut également la première fois que je me suis masturbé une troisième fois alors que le monsieur était parti, tellement ce qu’il m’avait confessé était moche. J’étais loin de m’imaginer, jusque-là, que l’humain pouvait faire preuve d’une telle dépravation. J’ai conseillé au fidèle, avant de l’absoudre pour son voyeurisme non-assumé, de tout avouer à sa femme.
    
    Ce qu’il fit sans détour, du moins c’est ce que me révéla son épouse quelques jours plus tard.
    
    Elle se montra atterrée, démolie, salie, désespérée de savoir que son mari savait tout. Mais elle ne savait pas que je savais qu’il savait, et encore moins que quand elle me racontait tout ça je secouais mon sexe. Ça m‘excitait terriblement, à mon grand désespoir.
    
    Madame m’a parlé de sorcellerie, de possession par le démon, de sort qu’on lui aurait jeté, tout ça pour finalement ne pas assumer qu’elle aimait se faire prendre en douce, se faire limer, se faire baiser. Je mettais les mots de son mari sur ses phrases à elle, ampoulées et absconses. La réalité de ses activités occultes était plus proche de la baise que de l’amour, mais elle hésitait encore à en convenir. Je lui ai donné quelques conseils de bonne tenue et l’ai assurée de l’amour du Christ avant de la libérer.
    
    Son mari est revenu, penaud, me dire qu’il avait tout dit. Évidemment, je ne pouvais pas lui confier ce que j’avais entendu sous le sceau de la confession, mais je savais tout, ou presque tout. Madame avait juste oublié de me dire qu’elle avait ...
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