J'arrive chez Martine, ma tante. - Histoires de Sexe

J'arrive chez Martine, ma tante.

... première, pour le diriger vers mon entre jambe. On commençait à y entrevoir un relief. J’approchai mes lèvres et nos langues se nouèrent. Je palpai finalement son sein de ma main, et titillai son mamelon avec mon pouce. Nos bouches se séparèrent je me rendis compte que ce qui venait de se passer était très romantique, mais ce que j’éprouvais pour elle était purement physique. Toutes mes précautions n’étaient là que pour l’entraîner avec moi.

— Alexandre, je veux que tu me fasses l’amour.
— Tu m’as bien manipulé avec ton histoire de dos. J’accepte à une condition.
— Ce que tu veux mon chéri.
— Qu’est ce que tu voulais dire quand tu m’as dis que ça faisait quatre ans que tu n’avais pas vu de vraie bite ?
— Quoi ? Ah oui… eh bien…

Elle n’ajouta rien. J’ai toujours été fasciné par la réticence qu’ont les femmes à parler de leurs plaisirs solitaires.

— Oui ?
— Ça veut dire que ce que ça veut dire. Je suis comme les autres, j’ai des besoins parfois.
— Et tu te masturbais ?

Elle me fixa du regard à nouveau. Je m’approchai d’elle et l’embrassai.

— Oui, oui, si c’est ce que tu veux entendre, je me masturbais en regardant des vidéos.

Je la redressai et je l’embrassai à nouveau. Nous nous enlaçâmes pour la première fois. Je pouvais la sentir presser ses seins sur mon torse, bien qu’encore habillé.

— Martine, je veux que tu me montres.
— Montrer quoi ? Les vidéos ?
— Non, je veux te voir te faire plaisir.
— C’est hors de question. C’est bien trop… trop…
— ...

... Excitant ? Pour moi oui, et je te ferai ce que tu voudras, si tu acceptes.

Elle ne répondit pas tout de suite. Finalement elle se décida, s’adossa au mur, les jambes repliées, et les écarta.

— D’accord, mais je compte bien m’amuser avec toi après, dit-elle en souriant.

Elle prit la serviette et la jeta. J’étais face à elle, ou plutôt face à son entrejambe. Elle écarta les jambes au maximum. Son sexe était parfaitement lisse, omis cette pilosité en triangle. Elle glissa sa main droite entre ses jambes.

Elle commença par parcourir plusieurs fois sa fente de son index. Je regardai tantôt son doigt en action, tantôt son visage. Au début, elle me regardait le sourire aux lèvres, mais son visage devint sérieux, et on voyait qu’elle commençait à éprouver pas mal de sensations. Elle écarta à présent ses grandes lèvres avec deux doigts, et avec l’autre main frotta l’intérieur de son intimité. Son clitoris commença à se faire voir, et Martine s’en occupa en particulier. La scène m’excitait beaucoup, et mon sexe me faisait mal à cause de mon jean qui l’empêchait de se tendre à sa guise. J’entrepris alors de me mettre nu. Martine apprécia le spectacle. Elle se mordit la lèvre, et sa main s’agita de plus de en plus sur son intimité, qui semblait à présent être en feu. Nous étions tous les deux nus, face à face, elle qui se masturbait, moi qui la regardait.

— Je t’avoue que je pense à toi depuis plusieurs années Martine. Tu es une femme sublime.
— Oh… tu es adorable. Te voir ...