1. J'arrive chez Martine, ma tante.


    Datte: 15/07/2020, Catégories: f, fh, fplusag, oncletante, bain, Auteur: Alexandre K., Source: Revebebe

    ... découverts. Sa pilosité pubienne était apparente, bien que l’on voie que Martine l’entretenait régulièrement en forme triangulaire. Après un bref regard sur son intimité, je regardai Martine dans les yeux. Elle semblait effondrée.
    
    — Tu as un corps magnifique Martine. Tu ferais succomber n’importe qu’elle homme.
    — Tu le penses vraiment, d’un ton hésitant et naïf ?
    
    Je n’aurais jamais cru que ma tante fut complexée par un physique aussi avantageux.
    
    — C’est évident. Même sans te dévêtir, tu m’as fait beaucoup d’effet tout à l’heure.
    — Oui j’ai vu, enfin presque. Avec toute cette mousse…
    — Oui, j’en avais pas mis assez je crois.
    
    Elle rigola de bon cœur. J’en fis autant tout en la regardant dans les yeux. Je tentai le tout pour le tout.
    
    — Je vais te faire un massage pour te soulager le dos. Allez, direction la chambre.
    — Attend, tu vois cette bouteille, c’est de l’huile. Tu reviendras la prendre, me dit-elle avec un sourire que je ne parvins pas à décrypter.
    
    Était-ce pour me montrer son soulagement, ou alors parce qu’elle envisageait déjà ce qui pourrait se passer après ou pendant le massage…
    
    Je l’emmenai donc dans la chambre, la déposai pour la seconde fois sur le ventre, et retournai prendre l’huile. Je m’en mis sur les mains, et sur son dos et je commençai le massage après lui avoir déposé une serviette sur les fesses. Respecter sa pudeur, quand même.
    
    — Tu es un garçon adorable. Je suis sur que tu seras un très bon mari, et aussi un très bon ...
    ... médecin.
    — Merci, mais pour être honnête, j’ai un peu exagéré avec mes propos de soi-disant médecin. Ce que j’ai fait cette année était très théorique.
    — Eh bien, j’ai beaucoup apprécié.
    
    Le silence s’installa, et je continuai le massage. J’avais commencé par le haut du dos, au niveau des épaules, puis progressivement vers les omoplates. Je lui demandai parfois si je lui faisais mal, la réponse était non. Je continuai. Sans aller les toucher, j’aventurai mes mains sur la bordure de ses seins, mais très rapidement, pour ne pas que cela soit trop suspect. Comédie, ou pas ? Cette question m’empêchait de prendre des initiatives. Mes massages s’appliquaient à présent sur le bas de son dos. Je croyais parfois l’entendre ronronner, mais je devais surement m’égarer.
    
    — Bon voila pour dos. Je peux te faire les bras et les jambes maintenant que j’y suis.
    — Avec plaisir.
    
    Sa phrase ne me laissait aucun indice sur mes droits sur son corps. Je conclus finalement que de dormir dehors ne me dérangerait pas, j’aurais au moins essayé.
    
    Je commençai par les bras. Je changeai la nature de mon geste, en faisant des mouvements plus lents, et qui pressaient bien ses muscles. Je passai ensuite aux mollets en les massant avec les pouces, puis aux cuisses. Ses jambes fines et musclées succombaient à mes va-et-vient.
    
    — Tu masses vraiment très bien. Dommage que tu ne sois pas là après toutes mes séances de gym.
    — Merci du compliment. C’est une amie qui me l’a appris.
    — Une amie proche ?
    — Une ...
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