J'arrive chez Martine, ma tante. - Histoires de Sexe

J'arrive chez Martine, ma tante.

... amie qui fut proche.
— Je vois.

Je continuai mon massage. Comme j’avais commencé le massage par la jambe gauche au niveau du genou, je remontai petit à petit.

— La serviette va bientôt me gêner, je peux l’enlever ?
— Je préfèrerais que tu la laisses en place.

Je n’abandonnai pas pour si peu.

— Tu sais, maintenant que je t’ai vue…
— Mais tu peux passer tes mains par-dessous…

Enfin ! Voila la phrase que j’attendais. Martine n’avait pas eu le courage de me dire directement que j’avais droit à son corps, mais elle me l’accordait en fait. J’entrepris de lui masser le haut des cuisses en passant mes mains sous la serviette. Je remontai jusqu’à ses fesses, et je lui plaquai ma main entière sur la fesse gauche. Je ne bougeai plus et attendis une réaction de sa part. Finalement je repris le massage, ou plutôt la caresse.

J’avais à présent mes deux mains sur ses fesses, et je les caressais doucement :

— Alexandre… je voulais te dire, je t’ai menti pour mon dos la première fois…
— Je m’en doutais un peu, tu avais l’air bizarre.
— Un peu oui. Ne fais pas comme si tu ne l’avais pas remarqué, mais j’étais nez à nez avec ton sexe qui bandait.
— Je ne pensais pas que voir ma bite réveillée irait te troubler autant.
— Eh bien, tu t’es trompé. Ça va bientôt faire quatre ans que je n’en avais pas vue de vraie.

Quatre ans sans en avoir vue de vrai ? Un point que j’allais éclaircir par la suite. Je m’étais assez occupé de ses fesses. J’attrapai ses jambes et je ...

... les écartai doucement. Je repris :

— Tu as été bien punie, non ?
— Comment ça ?
— Tu as fini par en avoir un vrai de blocage de dos !
— Pour ce blocage là aussi j’ai…

Je lui coupai la parole, en essayant de me rendre compréhensible.

— Tu voulais un massage, rien de plus humain.
— Oui voilà, enfin presque…
— Et maintenant, que veux-tu ?

Je retirai mes mains de dessous la serviette, et j’attendis une réponse. Je lui donnai une chance de prendre les choses en mains. Tout en restant sur le ventre, elle retourna la tête vers moi :

— Retournes-moi, et mets-moi sur le dos s’il te plait, mais la serviette doit encore me cacher.

Elle en profitait vraiment, mais elle n’avait rien dit pour ses seins. En effet la serviette ne cacherait que son intimité, mais pas sa poitrine. Je la retournai doucement en faisant glisser la serviette.

— Et maintenant ?
— Continues ton massage, tu veux ? le sourire aux lèvres.

Je m’exécutai. En la retournant, je m’étais mis à genoux à côté d’elle. Je me déplaçai et me positionnai sur ses jambes, les miennes longeant les siennes. Je me penchai en avant, posant mes mains sur le lit à la hauteur de ses seins. Ma tête à quelques centimètres de la sienne. Elle souriait et me fixait du regard avec une telle profondeur. Restant en appui sur ma main gauche, je frôlai ses seins de ma main droite. Je continuai de passer mon index sur ses seins, mais avec légèreté : aucune pression sur la peau.

Ce fut elle qui se détacha du regard la ...