J'arrive chez Martine, ma tante. - Histoires de Sexe

J'arrive chez Martine, ma tante.

... peut-être la chance un jour de réaliser certains fantasmes.

Ma tante était donc assise face à moi. Elle portait encore un peignoir, ce qui ne m’empêcha pas de la détailler du regard, à son insu ou presque.

— Oups, vraiment désolée. J’étais dans le bain quand tu es arrivé.
— Un bain en plein milieu de l’après-midi ?
— Ben oui, c’est une habitude que j’ai prise le week-end. Avec tout le reste bien sûr, encens, mousse et tout. Bon, je vais me changer. Si tu as faim fais comme chez toi.
— D’accord, je vais me faire un petit sandwich.

Elle revint cinq minutes plus tard, vêtue d’une tenue de sport. Je compris alors que ma tante allait entretenir ses formes, et qu’apparemment, beaucoup de beaux mâles devraient être à sa salle de gym. Son t-shirt moulant dessinait bien les contours de ses seins, et son jogging d’été mettait bien sa croupe en valeur.

— Je vais à la salle de gym, je serai de retour dans environ 1h30, tu as le temps de prendre un bain si tu veux.
— Ça marche.
— Au fait, je t’ai sorti tout mon attirail pour un bon bain.
— Ah cool, merci, je vais voir ça. À plus tard.

J’avais l’appartement pour moi seul. Pourquoi ne pas visiter, ça me rafraîchirait la mémoire. Je fis donc un petit tour d’inspection de l’appartement, où plutôt des deux pièces où je n’étais pas encore allé. Sa chambre comportait un lit double, avec une petite table de travail, et une armoire équipée d’un miroir sur toute la hauteur. Combien de fois m’étais-je vu à explorer sa ...

... lingerie quelques années plus tôt. Cela me fit rire, et je sortis. La salle de bain était un peu petite (presque une surprise n’est-ce pas), par contre la baignoire était très spacieuse. Sur une petite table à côté de la baignoire j’avais bougies, encens, livres, et tout un tas de bouteilles ; certaines plus ou moins suspectes. Je fis couler l’eau y m’y glissai, avec la mousse qui flottait à la surface. J’entrepris de lire un livre qui était sur la table. Je pris le premier de la pile, celui qu’elle devait lire : Marcel Pagnol. Bof pas trop mon truc, je regardai les autres ouvrages, et je trouvai, non sans joie, un livre intitulé "La Fleur au Pistolet" dont la couverture représentait une femme nue pointant une arme vers un homme, nu lui aussi.

Cette lecture m’émoustilla bien, et me fit découvrir l’influence qu’avaient les récits érotiques sur moi. (À ce propos, je remercie Revebebe d’alimenter régulièrement ce plaisir.) Après quelques pages de « Sandra en appui sur la voiture se faisait culbuter… plongea ses doigts dans son sexe… soupira de plaisir » j’avais une belle érection. Je sortis de bain et entrepris le traditionnel va-et-vient au-dessus du lavabo tout en continuant la lecture. Quelques minutes plus tard, je me retrouvai à contracter chacun de mes muscles, en poussant un gémissement étouffé. Je repris place dans la baignoire. Le temps passa sans que je m’en rende compte. Il faut dire que ces histoires de femmes qui s’adonnent au plaisir solitaire, ou en couple me firent ...