J'arrive chez Martine, ma tante.
Datte: 15/07/2020,
Catégories:
f,
fh,
fplusag,
oncletante,
bain,
Auteur: Alexandre K., Source: Revebebe
... depuis ton sport. De l’eau chaude te fera vraiment beaucoup de bien. Je m’occuperai du dîner.
— Bon d’accord tu as gagné, me dit-elle en partant.
Une vingtaine de minutes plus tard, j’avais fini de préparer le dîner, mais Martine n’était pas revenue. Je décidai d’aller la voir.
— Martine, le dîner est prêt. C’est quand tu veux.
Pas de réponse.
— Martine ? Ça va bien Martine ?
Je frappai à la porte.
— Ah oui pardon, je m’étais assoupie.
— Ouf j’ai eu peur. Bon je t’attends dans la cuisine.
Mais je restai sur place en attente d’une réponse.
— Euh, Alexandre… j’ai encore le dos bloqué, je ne peux pas sortir de la baignoire.
Je n’en croyais pas mes oreilles. Soit c’était l’œuvre d’une volonté divine, soit elle mentait. Je préférais de loin la deuxième hypothèse.
— Pas de problème, je vais t’aider. Je peux entrer ?
J’entendis quelques bruits d’eau.
— Oui, oui entre, et pas besoin de fermer les yeux.
Inutile de dire que je ne tenais plus en place. J’ouvris la porte, et entrai. Elle était dans la baignoire avec une serviette sur elle, donc trempée, dissimulant son intimité. Quelle déception ! Après un moment, je lui dis :
— Bon je vais te sortir, mais il faut que tu gardes le dos très droit.
— D’accord, je vais faire ce que je peux. Fais attention toi aussi, on risque de glisser.
Ne voyant pas d’autre solution, je me déchaussai et mis les deux pieds dans la baignoire. Je l’attrapai par dessous les bras et commençai à la soulever ...
... doucement. La serviette qu’elle tenait ne recouvrait que l’avant de son corps, l’arrière était nu, et je pouvais voir ses fesses mouillées.
— Stop, j’ai mal. Repose-moi s’il te plaît.
Ce que je fis aussi doucement que possible. Je commençai à être réellement intrigué. Était-ce de la comédie, ou pas ?
— Désolé, c’est plus compliqué que prévu dirait-on. On va procéder autrement. Je vais sortir de la baignoire, et me mettre sur ton coté, tu vas te tenir à mon cou, je passerai mon bras derrière ton dos pour le soutenir, et l’autre sous tes jambes, et je soulèverai.
— Euh, d’accord, mais ça risque d’être difficile, je ne suis pas si légère !
— Bah, t’inquiète pas pour moi, et puis ton corps d’athlète n’a pas un gramme superflu, je devrais y arriver.
— Si tu le dis, mais fais doucement.
— C’est parti.
Nous nous mîmes en position. Martine dut lâcher la serviette pour m’attraper le cou, mais la serviette restait en place, du moins pour le moment.
Je soulevai, en m’arrangeant d’incliner son corps vers le coté. La serviette commença à glisser. Elle lâcha mon cou d’un bras pour la rattraper.
— Non, ne me lâche pas sinon tu risques de tomber. Elle m’écouta.
La serviette ne voulait pas tomber, je penchai Martine un peu plus, et finalement la serviette trempée tomba plus facilement que prévu, et me dévoila son corps. Ses seins étaient magnifiques. Je pouvais à présent dire qu’elle devait faire du 90/95B. Ses tétons pointés vers moi, comme pour m’accuser de les avoir ...