J'arrive chez Martine, ma tante. - Histoires de Sexe

J'arrive chez Martine, ma tante.

... disparaisse.
— Haha, oui c’est vrai, ce serait embêtant.

C’est vrai que la mousse ne reste pas indéfiniment, mais je savais que ce serait long avant qu’il n’y en ait plus.

Nous étions tous deux accroupis par terre à ramasser les boites. Je pouvais la regarder sans crainte, et je ne manquai pas de reluquer ses fesses, et la culotte rose qui dépassait. J’avais envie de peloter ses formes, mais c’était trop tôt, je me privais de tout geste. Je sentais mon sexe grandir, mais je fis mine de ne rien voir. Après avoir tout ramassé, nous nous relevâmes en même temps. Elle n’avait pas vu mon sexe :

— Merci, bon maintenant ce que je cherchais… À mince c’est trop haut. Tu n’as pas rangé les boites au bon endroit. Attrapes-moi cette boite bleu ciel s’il te plaît.

Après un bref « désolé », je m’exécutai. Je pris la boite en la laissant tomber intentionnellement au sol. Elle se baissa pour la ramasser, et ne manqua pas la vue de mon sexe en érection magistrale. Elle se figea dans son mouvement. Je jouai le jeu en ramassant la boite qui contenait des tampons.

— Ça va Martine ? Tu t’es fait mal au dos, sur un ton inquiet ?
— Ah oui, peut-être, simula-t-elle, j’ai trop forcé à la salle de gym on dirait.
— Je vois, laisse le futur médecin opérer.

Je déposai la boite sur la table. Je lui posai une main dans le bas du dos, l’autre sur son épaule.

— Attention, je vais te redresser doucement, si tu as mal dis-le moi tout de suite.

Je contenais mal mon rire. Nous ...

... jouions tous les deux une comédie, que j’avais mise en place.

Quelle bonne actrice.

— Aah, merci Alexandre.
— Nianiania, ne bouge pas le dos, reste bien droite, on va t’allonger.

Toujours dans la même position, mais elle avec le dos droit à présent, je la dirigeai vers sa chambre. Pendant le trajet, il arriva que mon sexe toujours en érection la bouscule un peu. Elle ne pouvait évidemment faire aucun commentaire. J’aurais su qu’elle jouait la comédie. Dans sa chambre, je l’allongeai doucement sur le lit. Pendant cette manœuvre, mon sexe avait largement oscillé, elle ne pouvait l’avoir manqué du regard. J’étais excité au plus haut point.

Je retournai à la salle de bain, pour y prendre la boite. De retour dans sa chambre, elle n’avait pas bougé. Je posai la boite sur sa table de nuit.

— Merci tu es un ange, dit-elle en essayant de dissimuler la gêne dans sa voix.
— Mais non c’est rien. Bon je retourne dans mon bain moi.

J’étais très satisfait de ma prestation, ou plutôt de la nôtre. Le fait qu’elle n’ait rien dit m’indiquait qu’elle était prête à jouer la comédie, mais jusqu’où ?

Après avoir fini de me laver, je sortis de la salle de bain. Je la retrouvai aux fourneaux.

— Martine, tu ne devrais pas faire ça dans ton état. Si tu sollicites trop ton dos, tu risques de te l’abîmer pour de bon.
— Ne t’inquiète pas, je ne sens plus rien.
— C’est moi le plus calé en ce qui concerne le corps humain, ici, répondis-je avec autorité. En plus tu ne t’es pas lavée ...