Caresses nocturnes
Datte: 13/07/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
Humour
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... tirai mes pans de chemise de mon pantalon avec une lenteur calculée. J’en défis, un à un, les boutons. Je l’ouvris, dans un geste que j’espérai sensuel, découvrant mon torse pas vraiment musclé. Torse nu, je n’avais jamais impressionné personne.
— Voilà qui est mieux ! Une vraie peau de bébé ! Pas un poil de trop ! Vos tétons me semblent aussi roides que les miens ! Etes-vous sensibles aux caresses en ces parages ?
— Non ! je ne suis pas une femme ! répondis-je.
— En avez-vous déjà fait l’expérience, mon jeune étalon ? Une de vos nombreuses conquêtes vous a-t-elle soumis à ce délicieux tourment ?
— Ben non ! Pi vous savez Madame la Comtesse, à part les p… u… t… e…, j’en ai pas eu beaucoup, d’expériences.
— Alors comment pouvez-vous vous montrez aussi péremptoire ? Comment pouvez-vous affirmer que… Armand ! Vous n’êtes qu’un ignorant de l’Amour ! Comme cela sera passionnant de faire votre éducation !
Pour couper court à son discours, je desserrai ma ceinture, dégrafai posément le bouton du haut de ma braguette. Je voulais tomber mon pantalon de manière sexy. Raté ! J’avais oublié que précédemment, les autres avaient été déboutonnés par une main friponne. Le pantalon m’échappa et je me retrouvai, couillon, le slip en Eminence et le pantalon à tirebouchon sur mes chevilles.
Le visage de Madame de Burnecreuse avait pris de belles couleurs. Qui en était responsable ? Le vin auquel elle avait fait honneur durant le repas, les deux doigts qui l’avaient soulagée après ...
... le café ou la vision de mon slip souillé par ma jouissance apéritive ? Slip tendu par un Popaul mal rangé qui pointait le bout du gland par la poche kangourou.
Marie-Angélique surveillait mon slip d’un œil attentif attendant que ma bite entière en émerge. Fiévreusement, sa langue passait et repassait sur ses lèvres sèches. Sa main droite glissée sous sa robe malaxait son sein gauche; sa main gauche posée en conque sur son mont de vénus se contractait machinalement sur son sexe.
Pour ôter mon pantalon de manière érotique, je lui tournai le dos. La vision de mes petites fesses tendant l’étoffe blanche lorsque je me penchai lui arracha une exclamation où pour la première fois sa langue dérapa :
— Quel joli petit cul tu as, mon mignon ! Ma bouche s’y perdrait volontiers !
Pour se reprendre aussitôt :
— Armand ! Armand ! Pardonnez cet écart de langage mais vous me faites délirer ! Un fondement aussi irrésistible, mes yeux n’en ont pas contemplé depuis les années folles ! Mes années folles !
Contempler ne lui suffit pas. Alors que j’allais me retourner après avoir ôté mon futal, deux mains agrippaient l’élastique de mon slip, le descendait prestement. Contact mouillant sur mes fesses. M’dame la Comtesse n’avait pu résister. Ses lèvres exploraient mes lunes en y déposant des petits baisers.
Ses mains, sur mon ventre, remontant, paumes ouvertes, jusqu’à ma poitrine. Ongles griffant mes mamelons. Langue s’insinuant entre mes fesses. Lèvres découvrant mes reins, ...