1. Caresses nocturnes


    Datte: 13/07/2020, Catégories: fh, fplusag, Humour Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... secondes seulement, le bassin de ma partenaire s’esquiva, Popaul ne pouvant l’accompagner dévagina.
    
    Croyant à un nouveau jeu, je la pris par les hanches et voulut la pénétrer de nouveau mais je trouvai porte close. Elle avait fermé/bloqué ses cuisses et m’interdisait l’entrée de sa caverne d’Ali Baba.
    
    — Armand, vous allez me trouver capricieuse mais je voudrais vous demander encore une faveur.
    — Vos désirs sont des ordres, Marie-Chan… Angélique. Pour vous plaire, j’f’rai c’que vous voudrez.
    
    Quelle idée bizarre, elle allait encore avoir.
    
    — Quel joli sentiment ! Mon amant inespéré, lorsque je vous aurai appris à vous exprimer dans un Français correct, pas une femme ne vous résistera !
    — C’est pas gentil d’vous moquer d’moi, Madame la Comtesse.
    — Je ne me moque pas de vous, Armand ! Le temps me donnera raison, dit-elle en se retournant.
    
    Changeant de position, elle me présentait sa partie pile et ma bite tendue tapait contre son cul.
    
    — Vous allez glisser votre phallus si roide entre mes fesses…
    
    Elle voulait que je l’encule ! Pas de ça Lisette, je n’étais pas partant pour de telles cochonneries ! Foutre ma queue dans son fion ! Mes doigts bon d’accord mais ma queue ! C’est des trucs de malade ! (Pour les chichiteux, j’avais un peu plus de 20 ans, on était en 1960 dans un bled de la France très profonde et j’avais servi la messe jusqu’à l’âge de 14 ans…) Beurk ! Je l’interrompis :
    
    — Non, vous pouvez pas me demander ça, Marie Angélique, c’est … c’est ...
    ... contre nature !
    
    L’éclat de rire qu’elle ne put retenir trémoussa son petit cul de manière tout à fait délicieuse. Si mon ego fut encore une fois égratigné, Popaul salua par quelques tressautements joyeux ce gloussement.
    
    — Contre nature ! Vous êtes trop mignon, Armand, mon petit ! Rassurez-vous j’ai des désirs plus simples à cette heure ! Mais « contre nature » nous en reparlerons… Mon chéri, glissez seulement votre vit tumescent, entre mes fesses. Poussez délicatement et vous vous retrouverez, sans mauvaise surprise, en une chapelle que vous avez déjà visitée.
    
    Ainsi je fis ! Sans rencontrer aucune résistance, mon vit « tu me sens » s’enfonça, écartant les chairs de ce cul encore ferme. Pour éviter que mon scoubidou baveur ne s’égare, une main directive le guida jusqu’à l’entrée de la vulve. Lorsque, bite bien arrimée, mon bassin vint toucher ses fesses, la bavarde parla de nouveau :
    
    — Maintenant, mon chéri, usez de votre bouche, de vos doigts autant qu’il vous plaira mais pour l’amour de Dieu, et un peu de moi aussi, gardez votre sexe raide mais immobile.
    
    Pour la main gauche, ça allait être coton. Mon bras était coincé entre son bras et son torse ce qui me laissait peu de liberté d’action. La coquine Comtesse résolut le problème : elle s’empara de ma mimine pour la poser sur son minou. Entrecroisant ses doigts avec les miens, elle les utilisa pour s’astiquer le bourgeon d’amour. Souple, malgré son âge avancé, elle était parvenue à passer sa jambe repliée par-dessus ...
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