L'orage - Histoires de Sexe

L'orage

... lourds, s’avança vers le seul homme de la pièce et lui demanda ce qu’il faisait dans la vie.

Je lui répondis que je travaillais dans l’industrie et que la montagne m’aérait. Ses gros seins se balançaient devant moi, je n’aimais pas trop, mais elle avait une bouche à sucer des queues, une belle salope certainement ! Mais malgré tout je serais aussi tenté par ses pointes de seins, comment deviendraient-elles, excitées ?

Les autres filles regardaient la salope avec des regards farouches, mais celle-ci ne s’en offusquait pas, certaine de son succès. L’une d’entre elles proposa une partie de dés pour finir la soirée. Elles se regroupèrent pour jouer y compris la tzigane qui se releva avec des airs de chatte. Je ne pouvais me lever, car la fille aux seins nus tout en discutant m’avait massé l’entrecuisse et avait provoqué une érection, mais dommage pour elle.

C’était surtout la tzigane avec ses airs de chatte, qui en se levant et en cambrant ses reins m’avait donné envie de la prendre doucement debout devant la cheminée. Sa jupe relevée, son ventre offert à la caresse de la flamme, la pénétrer par l’arrière dans son ventre que j’imaginais chaud et accueillant pour ma grosse queue, remplissant son con de ma bite bien raide avec mon gland qui viendrait buter au fond de son sexe.

Quelques dizaines de minutes plus tard, étant plus calme, je préparais les couchages. Les filles jouaient toujours aux dés, la fausse blonde était levée et marchait d’une façon bizarre. Je crus ...

... à un malaise et l’interrogeait, les filles rirent et elles m’expliquèrent que c’était un gage. Un gage ?

Oui un gage, elle avait perdu au jeu et devait marcher avec les boules de geisha de sa copine. Mais avec ses yeux troubles, des punitions comme celle-ci, elle aurait envie d’en redemander tous les jours !

Je dépliai mon duvet dans la petite pièce attenante, lorsque vint me voir la petite rousse au joli minois et en entrant, elle referma la porte derrière elle. Elle se plaignait de douleur à l’épaule, je dénudai cette épaule pour voir une marque rouge, la marque du sac. J’appliquai une crème lorsqu’elle en profita pour glisser sa langue sur un de mes seins. Surpris, je criai, quand frappa et entra en même temps la tzigane, elle fut surprise de voir sa copine dans mes bras, elle s’excusa et repartit.

La petite rousse se faisait câline, très tentante, mais je pensai que le moment n’était pas propice avec toutes ses copines dans la pièce d’à côté et je sortis. Toutes les filles me souhaitèrent une bonne nuit et j’allai me coucher seul.

Je m’endormis rapidement malgré les pensées érotiques causées par cet essaim de filles

Je dormais profondément quand je fus réveillé par une présence qui se glissait dans mon lit. Je voulus allumer, mais cette fille m’en empêcha en retenant mon bras et en murmurant :

— Chut, ne dis rien.

Je sentis aussi que c’était une fille, car elle était nue, de toute façon à part moi il n’y avait que des filles. Elle s’assit sur moi, ...