1. Julie, femme libre et crucifiée


    Datte: 18/06/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Anal Humour Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... prédécesseurs dont certains étaient de véritables taureaux en rut, montés comme le dieu Priape. D’autres, arrivant par devant, avaient préféré la fellation et enfoncé leur membre jusqu’au fond de la gorge, y compris les femmes qui se servaient de leurs verges de plastique. Vicieusement, pendant ce temps, Rose était approchée avec un gros vibromasseur à boule et avait branlé le clitoris de manière à déclencher d’incoercibles orgasmes qui ont provoqué des hurlements à fendre l’âme. Pauvre Julie. Elle transpirait beaucoup, son maquillage se liquéfiait, et sa chatte était humide comme un sous-bois après la pluie.
    
    Enfin, l’apothéose. Julie n’a été détachée de son pilori que pour lui présenter le bois du supplice, celui auquel on soumettait les esclaves rebelles, mais non pas les citoyens romains, quel que soit leur crime (sauf trahison) tant cruel était ce mode de mise à mort !
    
    La croix qu’utilisaient les Romains possédait parfois un élément fixé à quarante-cinq degrés sur le stripes, c’est-à-dire le mât vertical de la croix, au niveau du bassin du condamné. Cette pièce de bois, appelée sédile, taillée en pointe à son extrémité, avait pour but d’empêcher le condamné de s’appuyer, en rendant sa position des plus inconfortables, et en l’obligeant à une sorte de danse macabre au cours de laquelle il devait s’appuyer sur ses pieds blessés par les clous. Si on ne l’achevait pas en lui brisant les jambes, s’il était jeune et, au départ, en bonne santé, par épuisement, il ...
    ... finissait par s’asphyxier au bout de six jours et six nuits de souffrances indescriptibles. Il lui était impossible de s’évanouir dans cette posture. Aucune invention humaine n’a jamais atteint cet apogée du sadisme afin de donner la mort.
    
    Tout en nous documentant, Rose et moi, nous avons découvert un raffinement auquel les autorités romaines avaient recours dans les cas les plus graves d’insoumission d’esclaves, par exemple lorsqu’ils avaient abusé sexuellement de leur maîtresse, mais aussi certains des compagnons de Spartacus. Quelque 6000 d'entre eux ont été crucifiés le long de la via Appia en 71 av. J.-C. Il s’agissait alors de leur infliger une incroyable humiliation publique, tout simplement en leur enfonçant le sédile dans l’anus. Progressivement, la tige de bois s’enfonçait dans leur abdomen et appuyait sur leur prostate, ce qui, malgré la douleur, provoquait automatiquement l’érection, voire l’éjaculation. Les plus virils répandaient abondamment leur sperme devant eux, avant d’expirer dans d’atroces souffrances. Tout cela devant des femmes élégamment vêtues qui contemplaient leur agonie en se moquant de ceux qui étaient un peu moins bien équipés que la moyenne, et en s’extasiant devant les beaux étalons que l’on sacrifiait pour leur plus grande joie. Il faut savoir qu’à l’époque, pour ces jeunes soldats tout emplis de bravoure, barbares capturés au cours de campagnes, mourir n’était rien, pourvu que ce fût dans l’honneur. Crucifiés de la sorte, objets de moqueries de la ...
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