1. Julie, femme libre et crucifiée


    Datte: 18/06/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Anal Humour Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... en supplie : fouettez-moi plus fort !
    
    Il avait été convenu que le vouvoiement serait de rigueur, car toute familiarité dévoierait l’aspect tragique de la crucifixion. Je l’ai giflée et lui répondant :
    
    — Petite insolente, sachez qu’une condamnée ne choisit ni son supplice ni la manière de l’exécuter. Vous serez flagellée comme nous l’entendons, avec la force et le rythme qui conviennent. Mais je vous promets de vous arracher bientôt les larmes que vos beaux yeux verts refusent encore de nous offrir.
    
    Insoumise, elle m’a lancé un regard de défi, en essayant de me cracher à la figure, mais sans y parvenir. Plus adorable que jamais, notre future grand-mère ressemblait à une adolescente impulsive et rebelle, comme si le pilori lui avait permis de rajeunir. Puis elle m’a injurié, ainsi que Rose, en des termes si méchants et si grossiers que je n’ose les retranscrire ici, sous peine de choquer l’oreille chaste de mes lecteurs. Elle a voulu provoquer ma colère pour que je la déchire à coups de fouet, puis que nous l’empalions, mes compagnons et moi, à grands assauts de bites. Jamais je ne l’ai trouvé si belle qu’entravée nue et en colère. Elle frissonnait. Ses yeux brillaient et son front était brûlant de fièvre. Mais savais que le meilleur était à venir.
    
    — Rassurez-vous, a complété Rose : vous n’allez pas tarder à pleurer et à nous supplier de mettre fin à vos souffrances.
    
    Elle a voulu répondre, mais Pierre a enfoncé sa verge dure dans la bouche, jusqu’à la garde et ...
    ... tout en l’agrippant par les cheveux, afin de la forcer à se taire.
    
    Rose a distribué aux dames des godes-ceintures, du moins à celles qui n’étaient pas venues avec leur propre équipement, car le lecteur doit se rappeler que nous étions toutes et tous des libertins accoutumés aux orgies et aux excès érotiques en tous genres. Celui de Gwen, mon ancienne maîtresse anglaise dont je fus longtemps l’esclave, était énorme et fort douloureux à l’enfoncement – j’en avais fait l’expérience. Chacun est resté vêtu, la nudité étant le privilège de la condamnée. Les hommes se sont contentés d’abaisser leur braguette afin d’en extraire de beaux phallus tout épanouis sous le soleil printanier, avec des glands épanouis, gorgés de sang, lourds du désir de fourrer, humides de rosée, prêt à pénétrer la pauvre Julie au derrière offert, toujours prisonnière du pilori. Jamais, de sa vie jusque-là très sage, elle n’avait vu autant de virilité exacerbée, d’hommes qui la désiraient et qui pouvaient la prendre, sans autre forme de procès, puisque nous venions de la juger coupable. Elle a fermé les yeux, croyant rêver. Elle voulait prolonger son rêve. Chacune et chacun était libre de pénétrer en levrette à la mode vaginale ou anale, à sa convenance, en la saisissant par les hanches afin de la pilonner à fond. Je suis passé en dernier, parce que j’aimais bien trouver un cul était déjà bien rempli d’une semence torride, et j’y ai ajouté la mienne, déversée dans le trou borgne déjà bien écarté par mes ...
«12...678...14»