1. Julie, femme libre et crucifiée


    Datte: 18/06/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Anal Humour Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    Cette histoire fait suite à la série commencée par initié par un couple libertin, suivie du mâle oméga, mais peut très bien se lire indépendamment.
    
    Cinq années s’étaient écoulées depuis que j’avais quitté Gwen et Tom, ce couple de Britanniques fortunés auprès duquel j’étais resté pendant un an comme esclave sexuel. À vingt-cinq ans, je vivais en couple avec Rose, une femme de quarante ans ravissante, libre et distinguée, qui m’entretenait comme amant à demeure dans sa vaste propriété de Bretagne sud. Cela ne l’empêchait pas de multiplier les liaisons passagères, autant avec des hommes qu’avec des femmes, car ma chère et tendre était bisexuelle. Pour moi, la vie s’écoulait paisiblement, oisive, faite de rencontres charmantes et ponctuée de moments en amoureux avec ma douce Rose.
    
    Aux beaux jours, nous passions nos soirées dans le parc de sa propriété, bien à l’abri des regards derrière les grands pins, afin de nous aimer charnellement sous les étoiles que nous regardions s’allumer tandis que nous forniquions avec amour.
    
    Tout en cherchant du travail, car malgré le luxe dans lequel je vivais, je commençais à m’ennuyer, j’ai rencontré Julie dans une entreprise où je venais passer un entretien d’embauche. Elle travaillait comme secrétaire de direction, la cinquantaine élégante, bon salaire, un mari aimant, mais tristement conformiste et aux idées quelque peu étriquées au sujet de la morale. En présence de la famille et des amis, il avait l’habitude de se lancer dans des ...
    ... mercuriales qui avait le don d’énerver silencieusement sa docile épouse. Celle-ci, mariée puis maman très jeune, restée jusque-là toujours fidèle, était sur le point de se retrouver grand-mère. Lors d’une nuit d’insomnie, elle avait fait le point sur sa vie. Elle s’était aperçue qu’il lui avait toujours manqué quelque chose d’essentiel : le frisson érotique.
    
    Elle appartenait à une famille de catholiques très pratiquants, ne manquant une messe dominicale sous aucun prétexte. Pour elle, les célébrations des Rameaux et du Vendredi saint avaient une connotation très particulière : le récit de la Passion, c’est-à-dire la crucifixion de Jésus au sommet de la colline du Golgotha, lui causait une inexplicable excitation sexuelle qu’elle traitait en se caressant discrètement, une main glissée sous son pantalon, au fond de l’église où elle s’asseyait, avant d’exploser dans un orgasme qu’elle n’obtenait jamais avec son époux. Cela survenait toujours au moment où le Christ, épuisé de douleurs, expirait après avoir pardonné à ses bourreaux. Ce pardon lui semblait tellement obscène, avec les douleurs que le Fils de l’homme subissait, que Julie en frémissait de tout son corps, plongée dans un état second où le macabre se mêlait au désir charnel dans l’humidité de sa culotte. Tout est consommé. Elle imaginait les clous se planter dans les poignets et les pieds, la croix qui se dressait, Jésus exposé aux yeux de la foule. À l’imagerie chrétienne traditionnelle, elle substituait la nudité ...
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