Julie, femme libre et crucifiée
Datte: 18/06/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Anal
Humour
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
... nécessitait cette précaution : dominer une femme, c’est d’abord en prendre soin. Elle était condamnée à la croix, mais non pas à la brûlure du soleil, qui était généreux ce jour-là.
Il était temps de la flageller tout en abusant de son joli petit corps frêle et robuste à la fois, comme le subissaient toutes les femmes ainsi exécutées du temps des Romains. Elle devait attendre cela avec une grande impatience, car une lueur de joie est apparue dans son regard lorsqu’elle a découvert le pilori que nous lui avions construit, Rose et moi, afin d’emprisonner ses poignets et son cou sur une même planche de bois dont les deux parties articulées se sont refermées sur elle, verrouillées par un cadenas, puis fixées à un poteau solidement scellé dans le sol, à une hauteur telle qu’elle était obligée de se pencher en avant, à angle droit, sur la pointe des pieds. J’ai enchaîné ses chevilles à une barre métallique, afin de la contraindre à écarter les jambes, le dos cambré et les fesses relevées, exposées, hautement vulnérables. Julie s’est laissée faire avec complaisance, en adoptant sans protester la posture que nous attendions d’elle. Rose et moi étions fiers de ce bondage que nos invités prenaient en photos – photos qu’ils avaient interdiction formelle de diffuser à l’extérieur de notre cercle libertin sous peine d’en peine définitivement exclus.
Rose s’est avancée, vêtue de noir, son long fouet en mains. Quiconque a déjà été confronté à cet exercice sait bien que fouetter une ...
... personne soumise dans un cadre érotique est un art difficile. Mais j’avais été moi-même un esclave érotique, et plus d’une fois mon corps dénudé avait servi de terrain de jeux à ma maîtresse cruelle à son mari, qui m’avaient fait frémir sous la lanière de cuir. J’avais profondément aimé cela. Je savais comment doser le supplice afin de causer une subtile douleur qui échauffait, mais sans blesser vraiment, qui marquait de stries rouges, mais d’une manière non définitive comme le font hélas les véritables tortionnaires des pays dictatoriaux. Le son du claquement était impressionnant : il se réfléchissait sur la façade de la maison et nous revenait en écho. Chacune et chacun de nos invités a tout à tour été autorisé à pratiquer la flagellation qui a duré une bonne heure, avec des pauses pour se rafraîchir et déguster les petits fours du buffet des entrées. Puis ma compagne a posé, perpendiculairement à la colonne vertébrale de l’attachée, trois roses magnifiquement ouvertes afin que les épines pénètrent la peau blanche du dos. Julie poussait de petits cris de plainte, pour montrer qu’elle ne méprisait pas la douleur, mais derrière cet air défait, nous devinions qu’elle était aux anges et souscrivait totalement à ce que nous lui infligions. Elle attendait la suite en l’espérant tout à faire foutraque. Il ne fallait pas la décevoir. Je me suis approché de son visage et lui ai demandé si tout allait bien. Elle m’a demandé, d’une voix faible :
— Monsieur, s’il vous plaît, je vous ...