Julie, femme libre et crucifiée
Datte: 18/06/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Anal
Humour
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
... un prie-Dieu recouvert de velours rouge vif, sur laquelle Julie, que nous venions de libérer de ses chaînes, s’est docilement agenouillée, les mains jointes sur le pupitre où nous l’avons ligotée par les poignets. L’interrogatoire a pu commencer. Sans concessions.
En effet, il ne suffisait pas de brimer la pudeur de notre condamnée simplement en la privant de ses vêtements : il fallait en outre que son esprit fût mis complètement à nu, en l’obligeant à révéler des détails croustillants de sa vie intime qu’elle n’avait encore dévoilés à personne, même à ses meilleures amies. Lorsqu’elle mettait trop de temps à répondre aux questions, Pierre lui cravachait les fesses afin de l’obliger à avouer ses fautes. Nous admirions les belles marques rosées que cette correction lui causait, et ce souvenir me fait encore bander. Elle était déjà moins fière et gémissait déjà sous la rude fessée ! Pierre avait dû exercer comme inquisiteur dans une vie antérieure.
Avait-elle un amant ? Non, sincèrement. Volé de l’argent, menti pour obtenir un avantage quelconque, voulu du mal à quelqu’un, s’être vanté d’une qualité qu’elle ne possédait pas ? Aucunement. Avions-nous affaire à une sainte authentique au cœur pur de toute infraction ? Peut-être. Nous en sommes venus au sujet de l’onanisme, c’est-à-dire du vice solitaire, ce péché mortel par lequel un chrétien, bon en apparence, abuse de son propre corps au lieu de s’abîmer dans la prière. Comme il est difficile d’y échapper, la machine ...
... à produire de la culpabilité se met en route. Voici donc sa faille, Messieurs-dames, écoutez bien, car c’est abominable : sa passion pour la croix l’avait amené à d’étranges pratiques dans l’église qu’elle fréquentait. Nous l’avons déjà évoqué. Il lui a fallu évoquer ce fantasme à voix haute, et donner des détails : où ? quand ? comment ? pourquoi ? Ceci afin que chacune et chacun puisse entendre et comprendre comment notre condamnée, qui l’était une seconde fois, avait pu dévisser dans le piège diabolique au sein même d’un lieu saint. Son confesseur faisait semblant d’être scandalisé par ce dévoiement du culte religieux, exigeait des explications, fessait encore avec sa cravache, et criait au blasphème. L’assemblée, hypocrite, l’accompagnait dans sa condamnation de l’odieux péché. Pour lui permettre d’expier, il fallait, décidément, un châtiment exemplaire : la croix.
Puis nous l’avons libérée de ses liens. En tant que promise à la peine capitale, elle a eu droit à une dernière flûte de champagne et une ultime cigarette qu’elle a fumée avec délectation, toute nue au milieu de ses futurs bourreaux qui louaient son courage au seuil de la tempête. Nous lui avons également permis de se recoiffer et d’ajuster son maquillage. Ensuite, elle s’est allongée sur la table et, tous ensemble, nous l’avons enduite d’ambre solaire, sur chaque parcelle de sa peau, y compris les endroits intimes dans lesquels les doigts coquins entraient, lubrifiés par le crème. La pâleur se sa peau ...