1. Julie, femme libre et crucifiée


    Datte: 18/06/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Anal Humour Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... traversé l’épreuve qui l’attendait qu’elle se le serait amèrement reproché tout le restant de sa vie, sans oser en parler à quiconque. Au moment où son ultime vêtement a franchi ses chevilles, je crois qu’un puissant frisson a parcouru sa colonne vertébrale.
    
    Dévêtue, exhibée, elle rougissait autant que les roses Dortmund des massifs dont les parfums nous flattaient les narines. Mais, sous le soleil, nous pouvions tous voir que son triangle brun, délicatement herbu, était paré de petites gouttes de la mouille qu’elle sécrétait, signe d’une excitation qui allait crescendo : ce n’était là que le commencement. La culotte qu’elle venait de déposer dans la vasque était d’ailleurs trempée de liqueurs féminines dont les odeurs étaient encore plus douces que celles des rosiers en fleurs.
    
    Cependant, il n’était pas question de verser dans le fétichisme avec ces sous-vêtements. J’ai versé le contenu d’une bouteille d’alcool dans la vasque, et j’ai approché une allumette, afin de brûler l’ensemble des habits avec lesquels Julie était venue, chaussures comprises – nous lui avons cependant permis de garder ses lunettes. Cela symbolisait l’idée qu’elle n’aurait plus jamais besoin de vêtements, étant condamnée à la croix, de même que les soldats romains ont tiré aux dés le droit de s’approprier la tunique sans couture de Jésus. Bien sûr, nous avions prévu pour Julie des vêtements neufs et à sa taille, pour qu’elle puisse rentrer chez elle dans une tenue décente. Mais l’image de la ...
    ... combustion de la robe, du soutien-gorge et du slip de coton était vraiment impressionnante. Notre soumise, qui ignorait tout du scénario, en était restée figée de stupeur.
    
    Nous l’avons ensuite chargée de lourdes chaînes fermées par des cadenas, et jugée. Condamnée au supplice, bien sûr, à l’unanimité des jurés, qui ont abaissé leur pouce pour signifier leur accord. Elle a tenu son rôle à merveille, droite et fière dans sa nudité imposée devant ses juges et l’assemblée réunie pour l’accabler. Le motif, ou plutôt le prétexte, que nous avions inventé comme chef d’accusation était si insignifiant que je ne m’en souviens même plus.
    
    Mais avant de procéder à l’exécution, il restait quelques formalités. Tout d’abord, elle avait le droit de rencontrer un homme d’Église afin de confesser ses péchés et de mourir libérée de toutes les fautes qu’elle avait commises dans vie. Cela tombait bien, puisque nous avions Pierre, un véritable prêtre : sa vocation ne l’empêchait aucunement d’aimer les femmes à leur juste valeur, c’est-à-dire jusqu’à la folie. Élégant et séducteur, il savait toujours trouver les mots pour conquérir le cœur des dames, et son charme naturel lui permettait d’entrer dans le lit de toutes les paroissiennes qui le lui proposaient. Pour l’occasion, il avait revêtu la tenue de célébration, avec une aube blanche ainsi qu’une étole violette, celle du carême et des jours de pénitence. Le rôle de confesseur lui convenait donc à merveille. Il a extirpé du coffre de sa voiture ...
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