Entre remords et faux regrets ...
Datte: 09/04/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
voisins,
copains,
fsoumise,
vengeance,
Masturbation
facial,
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
extraconj,
Auteur: Monkypython, Source: Revebebe
... mon vagin, il avait baissé ma petite culotte pour le faire à son aise. Tout en faisant tout cela, il n’arrêtait pas de parler, il me disait que j’étais une belle plante, bien foutue et que je devais aimer la bite. Il continuait qu’il savait exactement ce qu’il fallait à une femelle comme moi et qu’il allait me donner exactement ce que je voulais.
— Et tu répondais quoi ?
— Je ne rappelle plus très bien, mais je crois que je disais oui à tout.
— Ça laisse deviner la suite.
— Il a commencé par me prendre debout contre sur le canapé.
— Et tu l’as laissé faire ?
— Pourquoi j’aurais dit non, j’avais plus envie que lui de baiser, j’ai essayé de l’aider en levant une jambe et en écartant les cuisses, j’en avais tellement envie qu’il m’a fourré sa queue debout, mais il a joui en deux minutes.
— Dans ta chatte ?
— Oui, mais je n’ai pas senti grand-chose à part les contractions de sa queue, je suis restée sur ma faim. Ce qui m’a consolée, c’est qu’il n’a pas débandé, il est resté dedans. Du coup, j’avais encore plus envie, et je lui ai demandé de me porter sur le canapé pour qu’il me baise encore.
— C’est là qu’on est rentré avec le voisin du troisième.
— Oui, vous nous avez surpris en pleine action.
— Je ne sais plus trop à qui attribuer la faute de ce qui s’est passé, à toi ou à lui.
— Attends, tu ne sais pas tout. Quand je l’ai raccompagné à la porte, il m’a dit que j’étais une des femelles les plus cochonnes qu’il connaisse et qu’il voulait revenir passer de bons ...
... moments avec moi. Au moment de partir, il a voulu un baiser d’adieu et il m’a embrassée. Je me suis collée contre lui pour lui rendre le baiser, et il m’a caressée. Il m’embrassait en me tenant plaquée contre lui, et il a commencé à jouer avec mon sexe puis à introduire les doigts. C’était trop bon. J’ai laissé faire et je me suis appuyée sur la rampe d’escalier, inconsciemment j’ai posé ma main sur son paquet, j’ai ouvert sa braguette et j’ai sorti sa queue pour le branler. J’ai fermé les yeux tellement ça me plaisait, je ne sais pas combien de temps je me suis abandonnée à ses doigts, ni pourquoi j’ai vaguement perçu que quelque chose clochait. Je me suis retournée et j’ai vu le voisin du deuxième qui attendait tranquillement trois marches plus bas.
— Un autre voisin ? D’abord celui du troisième, maintenant celui du deuxième, tout le quartier sait que je suis cocu.
— Lui, je ne pense pas qu’il parle.
— Pourquoi ?
— Tu vas comprendre. Il a eu tout le temps du monde pour mater ma fente et mon cul, et surtout de voir ton ami me branler. J’étais tellement soufflée que je n’ai pas bougé quand il est remonté vers moi, je n’ai même pas lâché la bite que je tenais. Il ne disait pas un mot, mais ses yeux me reluquaient maintenant de face, des pieds à la tête, et surtout des nichons à la chatte. Philippe me maintenait par les épaules, le chemisier grand ouvert pour faire admirer la marchandise et le voisin le questionnait du regard. Il avait un sourire et des yeux tellement narquois ...