Entre remords et faux regrets ... - Histoires de Sexe

Entre remords et faux regrets ...

Résumé des épisodes précédents :

Par vengeance, mon épouse se fait sauter par mon meilleur ami.La queue de ce dernier, véritable baguette magique, transforme l’épouse vertueuse et fidèle en sacrée salope. Comme si ça ne me suffisait pas d’être cocu, j’ai assisté aux ébats, encouragé les rapports adultérins, et même officialisé le droit de cuissage en accordant à mon ami le privilège de baiser ma femme sans capote.Maintenant qu’il va partir, vais-je retrouver une épouse fidèle ou une salope pour toujours ? (Voir la liste des titres en fin de récit)

Quelques remords.

Il me sembla que les adieux s’éternisaient. Qu’étaient-ils en train de faire, je n’arrivais pas à identifier les bruits qui me parvenaient, je les entendis un long moment palabrer à voix basse sans parvenir à comprendre leurs propos, puis plus rien. Je me levai alors pour voir ce qui se passait.

Quand j’arrivai à l’entrée, l’embrasure de la porte entrebâillée découpait un spectacle surprenant : ma petite putain se faisait prendre à nouveau, tentant de garder l’équilibre sur la pointe d’un pied tandis que son autre jambe était enlacée derrière les fesses de son amant qui me tournait le dos. Par contre, je voyais le visage de mon épouse légitime, elle avait les yeux révulsés par le désir bestial qui la consumait encore malgré un après-midi de totale débauche et une soi-disant satiété de sexe. Son cul nu rebondissait sur la rampe de l’escalier à chaque coup de boutoir qui enfonçait son ventre. Écartelée ...

... et en déséquilibre, elle s’accrochait au cou de son amant. Heureusement, ce dernier avait assuré sa prise et sa domination en empoignant les grosses fesses, il ne laisserait pas s’échapper la femelle avec laquelle il forniquait.

Soudain, je réalisai qu’ils étaient trois, Philippe assistait à la scène en spectateur lui aussi, pas tout à fait passif, car il tenait sa soumise par les cheveux en lui chuchotant à l’oreille des paroles que je n’entendais pas. Il semblait ravi de la tournure des événements, il avait offert son esclave à un autre et cette roulure forniquait debout au milieu de l’escalier avec un nouveau mâle. Mais qui la prenait sans ménagement ?

L’inconnu, pantalon et caleçon sur les chevilles, se tenait dos à la porte, je ne voyais que les fesses blanches qui se contractaient à chaque assaut et je n’arrivais pas à savoir avec qui ma femme me faisait encore cocu. Soudain le coït s’accéléra, les coups de boutoir se succédèrent avec violence, la cochonne se mit à se mordre les lèvres et à gémir de plus en plus fort, Philippe fit mine de lui couvrir la bouche pour l’empêcher de crier. Une scène surréaliste se déroulait sous mes yeux : un inconnu prenait ma femme debout dans l’escalier, la chienne se tordait de plaisir sous les yeux de son nouveau maître. Il était hilare et s’amusait beaucoup de cette situation si scabreuse ; tandis que l’inconnu la besognait vigoureusement, la salope prenait son pied et commençait à jouir en poussant de petits cris. Tout en riant, ...