1. Entre remords et faux regrets ...


    Datte: 09/04/2018, Catégories: fh, fhhh, voisins, copains, fsoumise, vengeance, Masturbation facial, Oral pénétratio, fsodo, confession, extraconj, Auteur: Monkypython, Source: Revebebe

    ... qu’il n’avait pas besoin de parler pour se faire comprendre, la petite cochonne qui venait de se faire baiser en voulait encore. Je n’arrivais pas à bouger même si je ressentais une honte énorme à être exposée nue aux regards de deux hommes.
    — Il y a de quoi. En quelque sorte, il t’a proposée à l’autre.
    — Exactement, il me jetait en pâture à un autre homme. J’ai adoré être un objet sexuel dont chacun peut disposer à sa guise. Je ne sais pas ce que je ressentais le plus fortement à ce moment, j’avais tellement honte que j’aurais voulu me cacher, et en même temps, j’étais tellement excitée que le désir me tordait le ventre. J’étais trempée, je tenais toujours la queue de Philippe. Je me sentais rougir, une grosse bouffée de chaleur montait de mon sexe à mon visage. Je voulais dissimuler à quel point j’étais excitée, mais Philippe, au contraire, voulait que l’autre le sache, il se jouait de moi, il disait des obscénités pour me rendre folle, il me proposait une nouvelle bite pour remplacer ses doigts, et je savais que ses paroles étaient destinées au voisin. De la façon qu’il s’est avancé vers moi, je voyais qu’il allait me sauter dessus, il avait compris que j’étais soumise et prête, il pouvait me faire ce qu’il voulait, je ne demandais pas mieux ; il était tranquillement devant moi, il me frôlait les seins et les mamelons du bout des doigts, puis il m’a caressé le ventre et le minou. Ses yeux avaient l’assurance du maître, ses doigts exploraient sa propriété, je lui ...
    ... appartenais, l’autre se marrait, il n’arrêtait pas de dire des obscénités, que c’était le moment de prouver si j’étais vraiment salope, que j’étais une vraie chaudière, qu’il fallait en profiter.
    — Et alors ?
    — J’étais nue avec deux hommes, un avec lequel je venais de coucher, et un autre avec lequel je ne demandais qu’à le faire, je tremblais de désir. Je me disais que j’avais pris mon pied comme jamais, j’avais adoré toutes les saloperies que j’avais faites avec le premier, pourquoi ne pas faire la même chose avec le deuxième.
    — À ce point ?
    — Je voulais tout et plus, je te dis, j’avais envie de crier que j’étais une salope et que je voulais qu’il me baise, mais je n’y arrivais pas. Je me contentais de fixer la braguette de notre voisin, ça faisait une grosse bosse, il bandait pour moi.
    — Il y a de quoi.
    — En attendant, je n’ai rien fait, j’étais comme une conne à attendre, passive. J’avais voulu prendre l’initiative, lui mettre la main au panier, ou même me mettre à genoux, sortir sa queue et le sucer, ou je ne sais quoi, mais je n’ai pas osé. En plus, je tremblais tellement que j’avais du mal à rester debout, j’avais les jambes en coton.
    — Et ensuite ?
    — Philippe m’a poussée pour me coller contre le voisin, j’étais nue, et il me caressait, j’ai senti ses lèvres sur les miennes, sa langue dans ma bouche, je savais ce qui allait suivre, il a ouvert son pantalon, quand j’ai senti son gland chercher ma fente, j’ai relevé une jambe pour l’aider et il m’a pénétrée debout contre ...
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