Entre remords et faux regrets ...
Datte: 09/04/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
voisins,
copains,
fsoumise,
vengeance,
Masturbation
facial,
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
extraconj,
Auteur: Monkypython, Source: Revebebe
... son mentor lui recommandait de gueuler moins fort si elle ne voulait pas rameuter les voisins et le mari.
Enfin, ma chérie rouvrit les yeux tandis que l’étalon de service essuyait son sexe gluant avant de remonter son pantalon sans que je puisse deviner son identité. Aucune capote n’avait protégé le rapport, la salope venait de se faire remplir de foutre jusqu’aux yeux. Encore sous le coup de ce que je venais de voir, je revins m’asseoir dans le salon. Peu de temps après, la porte se referma doucement.
Maria fila aux toilettes où elle resta un bon moment avant de tirer la chasse. Elle revint alors s’asseoir près de moi le visage écarlate et dit d’une voix étranglée :
— Quelle conne, mais quelle conne ! Mais pourquoi je suis sortie sur le palier dans cette tenue ! Je n’arrive pas à croire que je l’ai fait.
— Tu es saoule, tu l’as dit toi-même.
Elle se blottit tout contre mon épaule, les jambes recroquevillées sous elle et nous restâmes ainsi un long moment sans bouger comme pour digérer les derniers événements. Puis je lui passai un bras sur les épaules et lui caressai les cheveux. Je ne saurais dire combien de temps il s’était écoulé quand elle me chuchota :
— Tu m’aimes encore après ce que j’ai fait ?
— Je t’aimerais toujours, et tu le sais, même si tu en fais plus encore.
— Embrasse-moi, s’il te plaît.
Elle tendit ses lèvres pour me donner un baiser très tendre et murmura :
— J’ai tellement besoin que tu m’aimes et que tu me désires ! Tu as encore ...
... envie de moi ?
— Très envie !
— Tu n’es pas dégoûté de passer après les autres ?
— Bien sûr que non !
— Alors, prouve-le-moi ! Fais-moi l’amour, je t’en supplie.
Nous allâmes dans la chambre où elle se débarrassa de son unique vêtement qu’elle laissa tomber au pied du lit souillé. Les draps tachés de la jouissance mêlée des deux amants et du mari conciliant, la forte odeur qui régnait dans la pièce témoignaient éloquemment qu’un autre homme venait de posséder mon épouse dans le lit conjugal. J’avais de nouveau une sacrée érection à cause de tous ces événements, et ces preuves visuelles et odorantes me stimulèrent encore plus, j’étais raide à me faire mal, comme je l’avais été tout à l’heure. Nous commençâmes à faire l’amour avec beaucoup de tendresse. Sans le chercher, je la pénétrai d’un coup tant son vagin avait été élargi et lubrifié de semence.
Quand elle répondit à mon désir, je ne pus réprimer la frustration causée par ce qui venait de se passer. J’allais et venais en elle de plus en plus fort, de plus en plus vite ; c’était à mon tour de chevaucher cette femelle torride qui s’offrait si totalement à ses partenaires. Maria ne bouda pas son plaisir, se déchaîna et provoqua chez moi un orgasme encore plus violent que le sien. Je crois même avoir crié en éjaculant dans son ventre.
Je restais sans doute longtemps comme inconscient et quand je revins à la réalité, Maria me regardait en souriant, appuyée sur un coude et dit :
— Tu avais vraiment très envie de ...