1. Entre remords et faux regrets ...


    Datte: 09/04/2018, Catégories: fh, fhhh, voisins, copains, fsoumise, vengeance, Masturbation facial, Oral pénétratio, fsodo, confession, extraconj, Auteur: Monkypython, Source: Revebebe

    ... régulier.
    — Et pourquoi non ? On a déjà tout fait ce qu’on pouvait faire.
    — Il y a une grosse différence pour moi entre voir ma femme se transformer une fois et une seule en salope intégrale et savoir qu’elle baise régulièrement avec un autre, non ?
    — Je ne sais plus où j’en suis, et je ne sais pas non plus ce qui m’a poussée à me conduire comme une vraie nymphomane.
    — Je ne vois que l’alcool. Tu sais que tu as l’alcool plutôt chaud.
    — C’est vrai, j’ai trop bu cet après-midi, j’étais même complètement saoule à un moment, mais je n’avais pas idée de ce qui allait se passer.
    — Pourtant à table, tu ne parlais que de la manière dont tu allais me faire cocu.
    — J’ai sans doute trop parlé, mais sans la moindre préméditation de coucher avec ton ami. Quand j’ai dansé avec lui, je me suis collée contre mon cavalier peut-être un peu plus que je ne l’aurais fait en temps normal, en fait je me suis agrippée à son cou comme une moule sur son rocher, j’étais tellement saoule que j’avais besoin d’un soutien et je me suis abandonné entre ses bras.
    — Et ?
    — Je me suis vite aperçue qu’il bandait comme un cochon. Cela ne m’a pas choquée, bien au contraire ça m’a plu, toutes les femmes aiment se sentir désirées. J’ai fait comme si de rien n’était et je ne me suis pas dérobée au contact de son érection. Bref, tu étais à peine sorti qu’il a commencé à me caresser le bas du dos et à me donner des petits bisous dans le cou. J’ai plaisanté que je n’étais plus une collégienne qu’on draguait ...
    ... dans une surprise-partie. Alors il m’a répondu qu’il n’y avait pas d’âge limite pour les femmes mignonnes comme moi. Tout en parlant, il continuait à me donner des petits bisous partout, dans le cou, sur tout le visage et aussi sur mes lèvres. J’ai voulu lui rappeler que j’étais mariée et que j’aimais mon mari et il a insisté en disant le mariage n’est pas une prison, que je pouvais me permettre de flirter avec lui, qu’un petit câlin ne prêtait pas à conséquence. Je ne rappelle plus ce que l’ai répondu. Toujours est-il que pendant que j’essayais de parler, il a profité de ce que j’avais la bouche ouverte pour m’embrasser et y mettre la langue. Je ne sais pas pourquoi je l’ai laissé faire et j’ai fini par lui rendre ses baisers.
    — En fait, tu as tout fait pour aller plus loin.
    — Je ne sais pas, on s’est roulé des pelles comme des collégiens. Il a commencé à me peloter par-dessus mes vêtements et comme je n’ai jamais dit stop, il en a profité. Il a déboutonné mon chemisier pour me caresser les seins, puis il m’a carrément mis la poitrine à l’air pour me tripoter à son aise et me sucer les tétons. Ses mains n’arrêtaient pas de me palper partout, mes seins, mon cul, mon sexe, et il a finalement mis sa main dans ma culotte pour s’occuper de mon minou.
    — Toujours parce que tu voulais bien.
    — Sans doute. J’ai bien senti comment il m’écartait la raie pour me fourrer le doigt dans le cul, comment il jouait avec mes poils et avec mon clitoris, comment ses doigts s’enfonçaient dans ...
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