1. La fin


    Datte: 10/06/2020, Catégories: ff, ffh, fbi, copains, grosseins, hotel, cérébral, entreseins, Oral 69, fist, fsodo, fouetfesse, couplea3, Auteur: Bouzi, Source: Revebebe

    ... Fabienne.
    
    En écrivant je sens, en même temps une boule dans mes entrailles, que je commence à mouiller de désir.
    
    — On est complètement folles ! Je n’arrive pas à croire que je viens d’écrire cela !
    — Tu sais, tu as le droit de tout laisser tomber. Il n’est pas trop tard. Mais décide vite, car dans une minute…
    
    Elle prend dans ses mains les liens et autres ustensiles dans ses mains tout en me parlant et me fixant.
    
    — Non, ce n’est pas ça, je suis juste un peu nerveuse, c’est tout.
    — Parfait. Alors installe-toi.
    — Tourne-toi, très bien.
    
    Elle attache mes mains solidement derrière mon dos, avant de m’attacher les chevilles. Enfin elle se lève, avant de se saisir d’un objet que je ne pouvais voir.
    
    — Qu’est-ce que c’est ?
    — Ça ? C’est la touche finale, pour que tu sois vraiment à la merci de François, dit-elle avec un grand sourire. En fait c’est un bâillon pour que tu ne parles plus du tout.
    — Est-ce que je peux te poser une question avant que tu ne me le mettes ?
    
    Elle acquiesce d’un mouvement de tête.
    
    — Nous allons être les esclaves de François. Et si… Et s’il veut m’enc… Enfin, et s’il me demande de me sodomiser ? Tu sais, je suis vierge de ce côté-là.
    
    Elle s’approche de moi, met son bras autour de moi. Elle positionne le bâillon autour de ma bouche.
    
    — Fabienne, ce soir, ce que veut François, il l’aura.
    
    Puis elle serre le bâillon, et je me retrouve muette. Elle l’a bien attaché ; même si je le voulais, je ne pourrais pas parler.
    
    Marie se ...
    ... place à côté de moi. Elle attache d’abord ses chevilles, puis met en place son bâillon. Enfin elle referme une paire de menottes sur ses poignets, dans son dos. Et nous commençons à attendre.
    
    L’attente n’est pas trop longue mais avec mon trac j’ai l’impression qu’elle a duré trop longtemps. Pendant que nous attendons François, je regarde Marie. Elle est belle, mais elle n’a pas l’air plus rassurée que moi.
    
    J’entends quelqu’un qui essaie d’ouvrir la porte de la chambre. Soudain, je suis pris de panique, et si ce n’est pas François mais la femme de chambre ou, pire encore, le maître d’hôtel. Je n’ai pas le temps d’aller plus loin dans mes pensées que la porte s’ouvre sur François. À ce moment-là, si j’avais pu courir et m’enfuir, je l’aurais fait. Je me sens honteuse, presque nue et attachée sur ce lit ; François est entré dans la pièce, assez distraitement. Puis il nous a vues. Il lui faut une seconde ou deux pour comprendre la situation. Je n’arrive pas à lever les yeux et regarder son visage. Il reste à nous regarder, nous dévorer du regard sans rien faire. Puis enfin il se rapproche. Il prend les cartes dans ses mains et les lit l’une après l’autre avec attention.
    
    — Je crois que je me suis endormi dans l’Eurostar et je suis en train de rêver.
    
    Il fait un pas en arrière et nous contemple avant d’ajouter :
    
    — Il ne faut pas brider ses rêves, alors autant profiter au mieux de toute cette beauté avant que je ne me réveille.
    
    Il reprend la carte à mes pieds. Il la ...
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