La fin - Histoires de Sexe

La fin

... lit à haute voix en me regardant droit dans les yeux.

—« Use de moi comme il te plaira. Je suis ton esclave pour la soirée ». Eh bien, il va falloir que je m’applique à bien profiter de cette occasion.

Il me contourne et se positionne devant sa femme et lit toujours à haute voix le texte de sa carte.

— Nous sommes ton cadeau. Tu peux nous faire tout ce qu’il te plaît, ou nous demander de te faire ce qu’il te plaît, ou enfin, si tu le désires, nous faire faire l’une à l’autre ce que bon te semblera.

Il se déshabille en face de nous, en prenant tout son temps. Il a déjà une érection massive. Son sexe semble gonflé d’impatience. Il s’installe juste en face de moi, il a l’air tellement sûr de lui. Il m’enlève mon bâillon.

— Tu ne parleras que lorsque je te le permettrai. Tu as bien compris.

J’acquiesce d’un hochement de tête.

Il avance son sexe devant mon visage et l’introduit immédiatement dans ma bouche.

Je me mets à le sucer avec ardeur. Sa bite est dure et fraîche. Je lui fais la meilleure pipe que je n’ai jamais faite. Je m’efforce d’engloutir le maximum de son sexe dans ma gorge. Je m’applique, je suce, je lèche, je branle de la bouche le mandrin de François sous le regard de sa femme. Pendant que je le suce son regard passe de moi à Marie. Il lui caresse le visage et les cheveux ; au même moment il jouit dans ma bouche. Je n’arrive pas à tout avaler, et une bonne partie de son sperme coule sur mes seins, sur mon menton.

François enlève le ...

... bâillon de Marie et lui dit simplement :

— Nettoie-la.

Marie se penche vers moi et commence à me lécher les seins jusqu’à ce qu’il ne reste plus une trace du sperme. Puis elle remonte vers ma gorge, mon visage. Elle fait exactement ce qu’il lui demande.

Il sourit, et remet mon bâillon en place. Puis il dégrafe mon soutien-gorge, caresse mes seins, pince légèrement mes tétons. C’est bon et très excitant, car je n’ai aucune idée de ce qui va se passer. Il détache mes chevilles, et me dit de me lever. Il détache également les chevilles de Marie, et la positionne à genoux devant moi.

— Enlève sa culotte.

Elle est encore attachée. Naturellement, elle s’y reprend à plusieurs fois pour attraper le haut de ma culotte entre ses dents. Et plusieurs autres avant de parvenir à me la retirer, et à la faire passer par-dessus mes hanches, et jusqu’au sol.

Maintenant je suis complètement nue.

François nous dit :

— Je vais vraiment prendre plaisir à tout ceci.

Il prend mon bras, me fait asseoir sur le lit. Puis il se retourne vers Marie et lui dit :

— Je crois qu’il est temps pour notre invitée de recevoir sa part de plaisir. Tu ne penses pas ?

Marie baisse le regard mais ne répond rien, sa question était purement rhétorique.

— Commence par lui baiser les pieds.

Au fur et à mesure que François lui dicte ses instructions, Marie s’exécute. Elle les suit à la lettre pendant qu’il contemple le spectacle.

— Maintenant remonte vers ses genoux. Tu sais ce que tu ...