La fin
Datte: 10/06/2020,
Catégories:
ff,
ffh,
fbi,
copains,
grosseins,
hotel,
cérébral,
entreseins,
Oral
69,
fist,
fsodo,
fouetfesse,
couplea3,
Auteur: Bouzi, Source: Revebebe
... dans la chambre, le drap a glissé, je suis subjuguée par le spectacle de ces deux corps. Ils dorment encore, alanguis, offerts à mon regard. Je m’approche doucement, dépose un chaste baiser sur les lèvres de Marie pendant que mes mains effleurent leurs corps et déclenchent des frissons. Ils ouvrent les yeux en même temps et me sourient. Je glisse sur les draps pour venir vers le sexe de François qu’il m’offre en se retournant.
Ma bouche et ma langue dégustent cette verge si parfumée par nos ébats de la nuit, il soulève son bassin pour que je le prenne encore plus loin dans ma bouche. Je m’applique à lui faire plaisir, retrouvant mes gestes d’hier. Marie se déplace dans le lit pour partager avec moi cette bite tendue, nous la suçons chacune notre tour puis elle se dégage pour venir embrasser mes seins et enfin descendre vers ma chatte. Elle me lèche, elle entreprend de jouer du bout de sa langue sur mon sexe, explorant mes petites lèvres et mon clitoris.
Une onde de plaisir me parcourt, Marie explore mon sexe trempé de sa langue experte puis elle se relève, retire le sexe de François de ma bouche et le présente devant ma chatte. Celui-ci me pénètre tout en douceur. Il reste figé en moi et il se contente de faire ...
... des ondulations du bassin. Ses mouvements n’ont pas trop d’amplitude mais toute la surface de sa queue est en contact avec mon vagin. Dieu que c’est bon ! Sa queue s’engouffre dans mon vagin, aussi loin que possible. Il entame un lent va-et-vient, je crochète mes jambes dans son dos pour le guider un minimum et pour qu’il aille le plus loin possible en moi. Je ne suis pas longue à venir, rapidement je secoue la tête d’un côté puis de l’autre en me mordant la lèvre inférieure. Soudain je soulève les fesses, projetant mon bassin vers lui et pousse un « oh oui… Humm… » de contentement et m’arque. Marie s’allonge à côté de moi et me dit en me caressant la joue.
— Tu devrais peut-être quitter Franck et venir t’installer à Paris. On pourrait t’accueillir tu sais !
Je l’embrasse à pleine bouche puis embrasse François, heureux de ne plus être considérée seulement comme une amie mais plus comme un des sommets d’un triangle amoureux.
Cela fait plus d’un an que vivons ainsi à trois et chaque sommet de notre triangle amoureux est indispensable aux autres. Je suis plus radieuse, plus épanouie. Et puis, quand j’ai envie d’un câlin, il y a quatre épaules pour me consoler. Et ça, si ce n’est pas le bonheur, ça y ressemble.