Le Chevalier Pervers 03
Datte: 01/06/2020,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byDesonrage, Source: Literotica
... porter un bâtard de mes œuvres, vu l'arrosage de sa matrice depuis le début de la campagne, trois mois auparavant.
Mais ce n'était pas elle l'objet de ma convoitise, ce soir là. Anna portait ses cheveux bruns sous un filet d'argent semé d'épingles et assemblés en un chignon lâche. Sa robe de velours vert cachait plus qu'elle ne soulignait ses formes que je devinais menues. Je me posais sur le bord de la paillasse de paille emballée de toile.
-Votre pucelage vaut rançon, lui dis-je. Vous ne serez pas en peine de souffrir les assauts de la troupe.
Son soulagement s'exprima par un soupir contenu. Elle avait un réel savoir vivre.
-Mais il existe bien d'autres manières de contenter un homme sans céder son sang.
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Elle me regarda les yeux grands ouverts.
-Je pensais d'abord à vos lèvres du haut. Ajoutais -je. Ces petits coussins peuvent engloutir les plus gros chibres sans problème, très chère.
En parlant, j'avais enlevé mes bottes et à présent me débarrassais de mes chausses. J'avais le sexe à demi érigé.
-Catherine va vous en faire la démonstration.
Catherine se pencha et se plaça à genoux devant moi, tandis que je faisais asseoir Anna à mes côtés. La noble regarda ma catin rouquine emboucher sans frémir mon sexe sali par le sang de la servante. Catherine fit coulisser ses lèvres, effaçant les traces et me faisant durcir. Elle me mit quelques petits coups de langue sur le bout, comme une chatte nettoyant son petit. Je repoussais doucement la ...
... rouquine par les épaules.
-A vous, Anna. Dis-je.
Elle se recula avec horreur. Un cri aigu se fit entendre dehors.
-Si vous préférez rejoindre ma troupe, libre à vous.
Elle baissa les yeux, et des larmes cristallines ourlaient ses longs cils. Elle se mit à genoux sur la peau de sanglier qui ornait mon sol et se pencha sur mon sexe. Je sentis ses lèvres coulisser le long de mon gland, et la chaleur de son souffle l'envelopper.
-Et bien, faites bouger votre tête, ordonnais-je.
Elle commença un prudent et lent va et vient, les yeux fermés. Je me cambrais légèrement pour amplifier le mouvement et elle fut soulevée d'un haut le coeur.
-Mettez du coeur à l'ouvrage. Ordonnais-je.
La menace implicite l'encouragea à accélérer.
-Mais servez vous de votre langue, bon sang! Jurais je.
Elle fit se tortiller sa langue autour de mon membre. Je la voyais pleurer et réprimer son dégout. Ce fut cela, plus que la sensation physique qui me fit cracher. Je lui tenais la tête, mais ses lèvres ne retinrent pas le flux, qui me mouilla les testicules et l'entrecuisse.
-Sale souillon, regarde ce que tu as fait! Dis-je en lui empoignant la chevelure.
Elle sanglotait, éperdue. La gifle la cueillit sur la pommette. Elle me regarda des ses grands yeux noirs.
-Nettoie, salope,lui criais-je au visage. Avec ta langue!
Elle sortit son organe rose et commença à bien mettre au propre mes bourses velues. Lorsque le résultat me convint,je la repoussais.
-Avale tout, la ...