1. Le Chevalier Pervers 03


    Datte: 01/06/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDesonrage, Source: Literotica

    ... rivière.
    
    Ses fesses rebondies tremblaient sous les claques des soudards . L'eau glacée lui arracha une exclamation. Les soldats la placèrent auprès du feu, pour lui éviter la pneumonie. La servante,Karine ne parlait pas le français, mais les intentions des hommes qui l'entouraient ne lui laissaient aucun doute , surtout que la bonne soeur ahanait sous les coups de reins d'un homme gras vautré sur elle. Elle dit quelques mots incompréhensibles d'une voix suppliante.
    
    Ses vêtements volèrent rapidement et elle tenait ses mains croisées sur son con pour le cacher. Deux hommes lui écartèrent les bras et la basculèrent en arrière en la tenant debout. Virgile, le chef de mes archers, un braconnier capable de piquer un lièvre en pleine course d'une flèche, lui plaqua sa main puissante sur le sexe et lui introduisit l'index. Elle cria avec un petit sursaut, et il prit un air songeur.
    
    -Chef, dit -il, la drôlesse est pucelle! Je sens sa membrane!
    
    Je m'arrachais à mon fauteuil de bois avec un sourire gourmand. J'avais institué ce rituel. Une pucelle méritait un noble pour lui ouvrir la chatte. Et j'aime l'air désespéré de ces pures gamines que d'un coup de vit, je change en catin. J'ouvris mon haut de chausse et mon sexe bandé surgit devant elle sous les acclamations de mes subordonnés. Je leur fis signe de la relever, et portée par des bras puissants et rugueux son ouverture recouverte d'un fin duvet noir se leva à la bonne hauteur. Je me penchais et lui sussurai, dans sa ...
    ... langue;
    
    -Tu vas être femme, ce soir.
    
    Elle gémit des dénégations suppliantes mais je n'en tins aucun compte. Je plaçais le bout de mon sexe sur le trou affolé et je poussais mon avantage. Je sentis la résistance. Elle poussa un cri de folle lorsque son pucelage se brisa. Je sentais ses chairs secrètes palpiter. Je tins ses cuisses et m'enfonçais avec délice. C'était étroit et doux comme un pré juste fauché. Je la pistonnais durement , alors qu'elle criait dans discontinuer. Je me retirais après avoir inondée, et un mélange de foutre et de sang coula de son con labouré.
    
    Un de nos chiens léchait les gouttes qui tombaient sur le sol. Je ris. Je pris l'animal au col et lui fit récolter sa douceur à la source. Elle pleurait d'humiliation tandis que la grande langue rose mouillait ses poils. Je virais le corniaud.
    
    -Frères de la forêt, le chemin est ouvert! Proclamais -je.
    
    Les cris de la servante se mêlèrent bientôt à ceux de la nonne.
    
    Je me dirigeais vers ma tente. Un jolie chatoune m'y attendait.
    
    La tente était éclairée par un feu dans un plat de fer, qui lâchait sa fumée par un orifice dans le toit. Quelques lanternes à bougie complétaient l'illumination des lieux. La douce Anna était assise sur un banc, à côté de la petite table où demeuraient son gobelet en bois et un pichet d'eau de vie, le reste de son repas ayant été débarrassé par la rousse Catherine qui m'accompagnait en campagne et s'assurait de mon confort, matériel et sexuel. Elle n'allait pas tarder à ...
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