1. Le Chevalier Pervers 03


    Datte: 01/06/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDesonrage, Source: Literotica

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    La guerre. Le sang et la gloire. Les sabots des chevaux écrasant la boue du champ de bataille dans leur course folle. Ça c'était pour l'histoire. Notre bataille eut lieu en un coin du nom d'Engueville. C'est avant un pont, qui pouvait permettre à l'ennemi de déferler sur les plaines à grain derrière la forêt. Le pont était une ruine qui menaçait de s'effondrer au passage de trois ânes de bâts. J'avais jugé plus prudent de faire traverser mon armée de dix hommes trois par trois. Je montais une barricade à la sortie du village. Des pas lourds approchaient.
    
    Je me plaçais juste derrière le tas de bois que nous nommions barricade. Une petite dizaine d'anglais, menés par un sergent avançaient vers nous. En fait d'anglais, il s'agissait de gars d'un peu plus loin. Ils n'avaient pas envie de mourir pour le pont, dont tout le monde se foutait éperdument. Et nous, nous n'avions pas envisagé de crever pour préserver le pont. On s'installa avec une coupe de vin. Et après la seconde bouteille, on décida de la suite des évènements. Fermer le village fut une affaire de dix minutes. Rassembler les hommes dans l'église ne prit que quelques minutes de plus. Regrouper les femmes à l'auberge ne fut guère plus long. On mit les vieilles dans la cave et on se prit les portables.
    
    J' empoignais une belle rouquine et lui arrachais sa robe. Elle hurla. Je la giflais. Je la couchais sur la table et lui écartais les jambes. Je la pris et lui volais son pucelage par la même occasion. Elle ne ...
    ... cessait de crier. Un des autres avait basculé une grosse à quatre pattes et la bourrait sans ménagement. Je me redressais, l'affaire faite et laissais ma place à l'un de mes hommes. Le gars gicla avant même de rentrer tant il était excité. Gontran se tourna vers moi avec le rouge au front. Je ris et lui tendit une flasque de brûle gueule.
    
    Gigi avait pris sa place et la secouait brutalement, lui arrachant un cri à chaque fois qu'il tapait son ventre contre celui de la fille. Alors que le coït marquait le pas, tous nos soudards ayant soulagé leur rage dans un ventre ou l'autre, je retournais la rouquine sur la table.
    
    Du foutre avait coulé de son con et lui mouillait le petit. J'entrais donc sans difficulté. Elle hurla de nouveau, puis me supplia de cesser de lui péter le cul. Je n'en tins aucun compte, bien sûr. Ses cris et ses suppliques ponctués de pleurs sonnaient à mes oreilles comme le plus doux des chants. Quand la tension se fit trop forte, je lachais-je mon foutre dans son fondement.
    
    J'abusais d'elle encore une fois après cela. Je la mis à genoux et elle me suça. Elle y mettait du coeur, tandis que sur les tomettes une flaque sourdait de ses entrailles. De la lèvre et de la langue, elle tira ma sève encore une fois. Je vis une plusieurs soldats commençaient à s'endormir. Je les réveillais à coup de bottes. Ils se levèrent en maugréant. Je leur rappelais que les hommes étaient en vie et qu'ils entendaient leurs femmes se faire violer. Il existe peu d'hommes qui ...
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