1. Le Chevalier Pervers 03


    Datte: 01/06/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDesonrage, Source: Literotica

    ... entendent ce genre de bruit avec plaisir. Et ceux de ce village ne faisaient pas exception. Je me rendis à l'église. Mon apparition déclencha une certaine panique.
    
    -La guerre s'invite dans votre cabouin. Les routiers veulent passer tout le monde au fil de l'épée. Commençais-je. Moi pas. Je préfère que vous disiez partout que le chevalier Dendraille vous a sauvé de l'armée anglaise.
    
    -Comment pouvez-vous nous demander cela? Demanda un petit gris tout rouge.
    
    Je songeais qu'avec ses cheveux poil de carotte, je connaissais sa fille.
    
    -Vous ne savez pas qui je suis! Tonna-t'il. Je suis le sénéchal Gaudit, envoyé pour la perception des taxes par le seigneur d'Erval, devant lequel vous aurez à répondre.
    
    Je lui fis sauter la tête d'un revers de lame. Le corps s'effondra.
    
    -Le sénéchal est mort en héros sur la barricade contre l'anglais. Dis-je. Faites lui une belle tombe.
    
    -Comptez y ,messire , dit le curé. Mais que faire de son cheval?
    
    -Il s'est enfui, terrifié par le fracas de la lutte. Répondis-je.
    
    Nous quittâmes le bourg perdu dans la forêt. Quelques lieues plus loin, je vis une forme blanche qui nous suivait. La rouquine de l'auberge se précipitait à notre suite. Elle arriva jusqu' à moi.
    
    -Sauvez moi, messire. Suppliait elle. Je ne peux rester chez ces rustres. Ils veulent me marier à un porcher.
    
    -Maintenant que ton père est mort, il te suffit de te rendre chez d'Erval et de réclamer son héritage.
    
    -Mon oncle était un serf de sieur d'Erval qui ...
    ... avait appris à lire avec le curé de son village. Il ne laisse rien.
    
    -Epouse ton porcher, c'est un bon métier, sinon tu finiras catin.
    
    -Je pourrais être là votre, dit elle en se collant à moi.
    
    De retour au camp, je lui dis de m' attendre et allais à la tente de commandement pour faire mon rapport. J'entrais, souillé de la terre du chemin. Le commandant lisait un petit papier.
    
    -Ah, cher Dendraille. Vous voici. Soyez béni. Grâce à vos efforts, l'anglais a été stoppé. Le curé du village a envoyé un pigeon pour narrer vos exploits. Votre nom a été cité à la table royale. Après lames lourdes pertes essuyées par l'ost principal, votre exploit sauvé la campagne.
    
    Je revins au campement avec un tonnelet de vin, un peu de fourniment et un mouton rôti,le tout dans une carriole tirée par un âne.
    
    Mes hommes saluèrent mon retour par une ovation. Je rentrais dans ma tente. Elle m'attendais et releva sa jupe en écartant les jambes. Elle serra ses chevilles derrière mes cuisses lorsque je la pénétrais. Elle poussa un petit cri lorsque mon vit butta au fond de son intimité. Je la retournais ensuite, et me positionnais contre son petit. Elle avait peur et tremblait, comme une biche aux abois. Je poussais doucement, pour profiter de l'intromission lente, et voir mon sexe brun entrer entre ses fesses blanches.
    
    Son anneau s'ouvrait petit à petit sous mon effort, tandis que son fluide matriciel aidait au glissement. Mon gland disparut dans son trou, et je coulissais jusqu'au bout de ...
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