Le Chevalier Pervers 03
Datte: 01/06/2020,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byDesonrage, Source: Literotica
... tendait vers sa face.
-Prends les bourses dans ta main et soupèse les.
Elle avait les mains fraîches, mais point trop.
-Bien. À présent, bise le gland et asticote le de ta langue. Allez, remue toi!
Elle s'exécuta, tandis que je la dirigeais dans les détails.
Un cri de truie me fit tourner la tête. Germain venait d'enculer la veuve, et, au bruit, elle n'était pas coutumière du fait.
-Bien, prends le mat dans ta bouche, à présent.
Je m'enfonçais dans une chaude moiteur. Je lui donnais quelques instructions pour agiter sa langue, mais à part les hauts le coeur récurrents, ce n'était pas mal.
Je la relevais ensuite, et la poussais sur la table, allongée sur le dos.
-Ecarte les jambes.
Elle exposa son buisson blond et la blessure rose de sa foune.
Je lui rapprochais la fente du bord et la pris.
-Tu n'es pas pucelle.
Elle se cachait le visage.
-Qui? Demandais-je.
-Mon père, peu après Noël. Répondit elle,dans un torrent de larmes.
Je hochais la tête.
-Il est donc en enfer. Mais cela n'est pas grave. Je suis tout en toi, et ton con me serre bien. Mais tu es sèche et il te faudra apprendre à mouiller sur commande, sinon, les clients vont te navrer le cas. Retourne toi, je te te forme le cul.
Elle me jeta un regard effrayé.
Je me ...
... plaçais contre son petit et poussais, mais sacrebleu, ce coquin ne voulait rien savoir. Je lui claquais le cul pour l'attendrir, sans succès. J'appelais sa mère, pour qu'elle m'huile la bite et fourre deux doigts dans ce satané orifice rétif. Lise gémit pitoyablement sous la percée maternelle. Et cette fois-ci, le muscle céda. Je l'embrochais en grognant et elle hurla sa douleur et sa peine. Cette fois-ci, je ne l'épargnais pas. À grands coups de reins, je lui ramonais sa cheminée comme il faut et après que je l'eus arrosée, en sortit un peu sali de merde.
-Leches tes saletés.
La gamine, encore chialeuse, nettoya mon sexe avec soin de sa langue. Je lui tendis un gobelet de vin, qu'elle se rince la bouche.
Après avoir salué Germain qui s'installait dans ses nouveaux murs, je me rendis dans la maison forte.
Jeanne était arrivée. Elle était contente de me retrouver.
-C'est ici notre château? Demanda -t'elle.
-Oui. C'est le domaine Dendraille.
-Votre bravoure est chantée par les troubadours. Le comte en était furieux.
-Je m'en doutais, c'est pour ça que je suis venu directement ici.
-Il m'a donné une lettre.
Le sceau était authentique. Je le brisais et déroulait le parchemin. Je ne pus contenir mon sourire. d'Erval avait tourné casaque, et marchait avec l'anglais.