1. Le Chevalier Pervers 03


    Datte: 01/06/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDesonrage, Source: Literotica

    ... établissement ne rende que si peu de taxes.
    
    -Avec la guerre, les affaires sont mauvaises, expliqua l'aubergiste.
    
    -Et ton accord avec la bande du furet te procure bien des produits de contrebande. Corrigeais -je.
    
    Il secoua la tête.
    
    -Mais...
    
    La fin de sa phrase se perdit en gargouillis. Philippe lui tenait la glotte serrée.
    
    Dix minutes plus tard, son corps gras pendait à l'entrée du bourg, macabre fruit accroché à une branche de noyer. Sur l'arbre en face, le Furet et ses deux plus proches lieutenant le toisaient de leur yeux vides.
    
    Les autres avaient été massacrés dans leur camp, ils étaient si sûrs de leur impunité qu' ils n'avaient aucune sentinelle. Le butin était mince, ce n'était que du menu fretin.
    
    Dans la salle de l'auberge, la femme et la fille de l'aubergiste étaient alignées avec les quatre femmes récupérées au camp des brigands.
    
    -Vos hommes sont morts. Commençais-je. Ils ont payé le prix de leurs crimes. Vous êtes complices et devriez orner les arbres à leurs côtés.
    
    La femme de l'aubergiste tremblait de peur. C'était une campagnarde qui ressemblait beaucoup à la chère Jeanne. Ses seins opulents montaient et descendaient au rythme de sa respiration affolée.
    
    -Je répugne à pendre un con encore bon à prendre. À poil!
    
    Les catins à brigands glissèrent hors de leurs robes. Elles avaient eu faim et leurs appâts en avait souffert. La grosse mettait plus temps, car elle devait aider sa jouvencelle de fille à enlever ses linges. Je ...
    ... m'approchais de la jeune femme. J'écartais ses mains qu'elle avait posé sur son sexe et son sein, en un dernier effort désespéré pour préserver sa pudeur.
    
    Un cri se fit entendre et je vis du coin de l'oeil une paire de jambes encadrer un cul musclé. Les compagnons ne perdaient pas de temps et les ribaudes satisfaisaient leurs nouveaux maîtres. L'une d'elles, marquée à l'épaule du Lys infamant des putains, branlait deux gars, tandis qu'un troisième lui arrangeait le con.
    
    -Comment te nommes t'on?
    
    -Lise, mon seigneur. Répondit la tremblante pucelle.
    
    -Tu es jolie, dis-je en repoussant une mèche de ses cheveux blonds derrière son oreille. Tu seras pour ceux qui pourront payer le prix fort.
    
    Elle me regarda avec effroi.
    
    -Mais pour ce prix-là, il faudra offrir un service impeccable. Lève tes mains au dessus de ta tête.
    
    Elle s'exécuta, et ses seins un peu lourds se dressèrent. Je lui empaumais une mamelle, et caressait le téton qui pointa. Elle étouffa un sanglot.
    
    -À genoux. Ordonnais-je.
    
    Elle se mit à genoux.
    
    -Délacez mes chausses.
    
    Elle tira sur le mauvais noeud et une seconde après, mon pantalon tombait. Je la giflais à la volée. Elle tomba sur le côté. Je remontais mon pantalon et ajoutais, d'une voix de roghomme:
    
    -Votre client veut juste sortir sa bite, pas se retrouver le cul à l'air.
    
    Elle se redressa en balbutiant des excuses.
    
    Cette fois-ci, elle fit ce qu'il faut, et un petit tablier descendit sur mes cuisses, tandis que mon vit dressé se ...