Diabolique innocence
Datte: 19/05/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
vacances,
bateau,
collection,
cérébral,
init,
confession,
Auteur: Toubab_7, Source: Revebebe
... n’esquisse le moindre mouvement. Tout en continuant à fixer son visage, je décolle son membre de son ventre pour le prendre en bouche. Le contact de la peau absolument lisse du gland est un enchantement qui me provoque une décharge électrique dans le ventre. Je le suce avec lenteur et application, avec désir et plaisir. Trop occupée à le savourer, il faut que sa main vienne caresser mon visage pour que je remarque son regard braqué sur moi et le sourire qui illumine son visage. Ma bouche aimerait s’occuper de son sexe jusqu’à ce qu’il s’épanche mais mon ventre le réclame. Sans échanger un seul mot, je lui montre la pochette, en retire la capote et la lui tends. Il s’encapuchonne et je peux alors glisser sur lui, le glisser en moi.
Je prends un plaisir fou à onduler sur lui. Je prends un plaisir fou à le recevoir entre mes jambes, allongée sur le dos. Et quand Arnaud me propose, incertain, de me prendre à quatre pattes, je prends un plaisir immense à accepter cela de lui comme on accepte une folie. Une folie merveilleuse rythmée par mes gémissements et le bruit sourd de son bas-ventre qui tape contre mes fesses. Emporté par son excitation, Arnaud me bouscule avec ardeur jusqu’à me procurer une jouissance intense.
Le soir, quand nous nous retrouvons à l’appartement, je sens chez Arnaud la même gêne que j’ai perçue après notre réveil en fanfare. Le père de ma colocataire cogite. Il hésite. Il doit se demander s’il n’a pas fait une connerie, s’il ne ferait pas mieux de ...
... tout arrêter tout de suite, si le plaisir de posséder mon jeune corps vaut de s’engager dans une histoire que Delphine risque de ne pas apprécier. Moi, a contrario, j’ai passé la journée sur un nuage. Trop contente d’être parvenue à mes fins. Mais maintenant que j’ai remonté le poisson dans ma barque, il ne faudrait pas qu’il trouve un moyen de replonger à l’eau. Je sens qu’il veut qu’on parle mais ne sait pas comment le proposer : je dois donc prendre les devants.
Arnaud est dans mon lit. Endormi. Il vient de me faire l’amour avec dévotion. Depuis notre petite discussion, il est comme investi de la mission sacrée de me conduire sur la voie d’une sexualité épanouie. Il a été surpris par mon aplomb et réconforté par mes paroles. Je veux bien paraître innocente mais pas passer pour une idiote. « Arnaud, je vois bien que quelque chose ne va pas… blabla… je ne veux pas que tu regrettes car j’ai passé de merveilleux moments avec toi… blabla… avec toi, je me sens femme, tu me fais découvrir le plaisir… blabla… différence d’âge… amour impossible… durera ce que ça durera… profiter des moments passés ensemble… ne jamais rien révéler à Delphine… »
Les semaines qui suivent sont follement excitantes. Arnaud et moi nous cachons de Delphine. Parfois, la nuit, il vient me rejoindre dans mon lit et nous faisons silencieusement l’amour. Le jeudi matin, comme Delphine commence ses cours très tôt, nous attentons qu’elle parte pour fêter nos retrouvailles, le plus souvent sous la douche. Les ...