Diabolique innocence
Datte: 19/05/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
vacances,
bateau,
collection,
cérébral,
init,
confession,
Auteur: Toubab_7, Source: Revebebe
... minimiser chaque compliment et, quand tout a été dit sur ma personnalité, c’est mon physique que je remets en question. Mais pour Arnaud, l’affaire est entendue : je suis une jolie jeune femme. Et chaque fois que je pointe un de mes défauts, il y voit une qualité. Notre discussion se poursuit pendant que nous faisons la vaisselle. Il fait tout pour me frôler et pour m’amener à parler de mes amours. J’élude ces questions. Il n’y a rien d’intéressant à dire à ce sujet. Il passe à un autre sujet pour mieux revenir à celui-là. Il recule pour mieux sauter, pour mieux me sauter. Je suis sûre que, dans son esprit, c’est la clé pour me conduire dans son lit. Alors je joue à le laisser jouer avec moi. Je souffle le chaud et le froid et, quand il me paraît bouillant, je coupe le feu : il est tard, je dois aller me coucher. Je lui fais la bise pour lui souhaiter une bonne nuit, une bise bien plus appuyée que d’habitude. Je le sens un peu désarçonné par cette rupture soudaine. Mais il est vrai que je dois aller me coucher. Je dois aller me toucher. Ce petit jeu m’a mise dans un état d’excitation incroyable et, nue sous ma couette, il me suffit de quelques minutes et quelques caresses pour me procurer un plaisir intense et libérateur. Et lui, s’est-il masturbé en pensant à moi ? S’est-il fait jouir en s’imaginant me faire l’amour ?
Le lendemain matin, je me montre enjouée et, avant de partir, je lui parle de mon plaisir. Pas celui que je me suis donné seule, mais celui que j’ai eu à ...
... discuter avec lui, lui si gentil, lui qu’il me tarde de retrouver deux semaines plus tard. Et, croyez-moi si vous le voulez, mais je n’ai pas à attendre deux semaines. Il se trouve que, par le plus fantastique des hasards, un « impondérable professionnel » contraint Arnaud à revenir dès le vendredi suivant. Pour se faire pardonner cette présence imprévue, il propose de m’inviter au restaurant. Je suis folle de joie.
Ce soir est le grand soir. Depuis une semaine, mes soirées sont agitées de la pensée d’Arnaud. J’imagine des dizaines et des dizaines de façons de le prendre dans mes filets et je sens que, là, c’est l’occasion ou jamais. Je me prépare avec soin, parfais le rasage de mes jambes et des contours de ma toison, gomme et adoucis ma peau, me maquille avec autant de soin que de légèreté. Pour ma tenue, mon choix se porte sur une robe droite, près du corps, aux larges bretelles et au sage décolleté carré qui laissera à peine deviner l’absence de soutien-gorge. Après une hésitation, j’opte pour un string plutôt que pour une sage culotte, espérant ainsi faire comprendre à Arnaud que la sage Audrey est aussi une jeune femme qui ne demande qu’à s’ouvrir.
Ma tenue lui plaît visiblement beaucoup. Dès qu’il me voit, il me dévore des yeux. Et il continue à me dévorer des yeux pendant tout le repas. Ensuite, ayant dit que j’adorais les cocktails, il insiste pour m’emmener dans un bar dont c’est la spécialité. Essaierait-il de me faire boire pour profiter de ma faiblesse ? Si ...